Qu'ai-je fait ?
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- Nombre de pages238
- PrésentationBroché
- Poids0.345 kg
- Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-283-02357-0
- EAN9782283023570
- Date de parution02/10/2008
- ÉditeurBuchet-Chastel
- TraducteurAda Ackerman
- TraducteurGalia Ackerman
Résumé
Anna Politkovskaia a été assassinée à Moscou le 7 octobre 2006. Sa voix dérangeait et on a voulu la faire taire. Pourtant, deux ans après, ses écrits parlent pour elle. Les textes réunis dans ce livre, écrits entre mars 2000 et septembre 2006 et inconnus du grand public français, donnent la mesure de son engagement. Ils dévoilent la richesse de sa personnalité et font entrer le lecteur dans le mouvement même qui l'a animée alors qu'elle travaillait pour Novoïa Gazeta.
Anna Politkovskaïa s'y révèle comme une journaliste qui ne se contentait pas de faux-semblants et refusait résolument l'hypocrisie et l'injustice. Elle s'inscrit dans la lignée des plus grands, tels Albert Londres, Ernest Hemingway et Ryszard Kapuscinski. "Qu'ai-je fait?" se demandait-elle, dans un texte retrouvé sur son ordinateur après sa mort, en rappelant que son exigence de vérité la condamnait à travailler comme "clandestine".
"Qu'ai-je fait?... J'ai seulement écrit ce dont j'étais témoin." On lira également les portraits étonnants que font d'elle son ex-mari, Alexandre Politkovski, l'une de ses amies d'enfance, Elena Morozova, et sa collègue Galina Moursalieva.
Anna Politkovskaïa s'y révèle comme une journaliste qui ne se contentait pas de faux-semblants et refusait résolument l'hypocrisie et l'injustice. Elle s'inscrit dans la lignée des plus grands, tels Albert Londres, Ernest Hemingway et Ryszard Kapuscinski. "Qu'ai-je fait?" se demandait-elle, dans un texte retrouvé sur son ordinateur après sa mort, en rappelant que son exigence de vérité la condamnait à travailler comme "clandestine".
"Qu'ai-je fait?... J'ai seulement écrit ce dont j'étais témoin." On lira également les portraits étonnants que font d'elle son ex-mari, Alexandre Politkovski, l'une de ses amies d'enfance, Elena Morozova, et sa collègue Galina Moursalieva.
Anna Politkovskaia a été assassinée à Moscou le 7 octobre 2006. Sa voix dérangeait et on a voulu la faire taire. Pourtant, deux ans après, ses écrits parlent pour elle. Les textes réunis dans ce livre, écrits entre mars 2000 et septembre 2006 et inconnus du grand public français, donnent la mesure de son engagement. Ils dévoilent la richesse de sa personnalité et font entrer le lecteur dans le mouvement même qui l'a animée alors qu'elle travaillait pour Novoïa Gazeta.
Anna Politkovskaïa s'y révèle comme une journaliste qui ne se contentait pas de faux-semblants et refusait résolument l'hypocrisie et l'injustice. Elle s'inscrit dans la lignée des plus grands, tels Albert Londres, Ernest Hemingway et Ryszard Kapuscinski. "Qu'ai-je fait?" se demandait-elle, dans un texte retrouvé sur son ordinateur après sa mort, en rappelant que son exigence de vérité la condamnait à travailler comme "clandestine".
"Qu'ai-je fait?... J'ai seulement écrit ce dont j'étais témoin." On lira également les portraits étonnants que font d'elle son ex-mari, Alexandre Politkovski, l'une de ses amies d'enfance, Elena Morozova, et sa collègue Galina Moursalieva.
Anna Politkovskaïa s'y révèle comme une journaliste qui ne se contentait pas de faux-semblants et refusait résolument l'hypocrisie et l'injustice. Elle s'inscrit dans la lignée des plus grands, tels Albert Londres, Ernest Hemingway et Ryszard Kapuscinski. "Qu'ai-je fait?" se demandait-elle, dans un texte retrouvé sur son ordinateur après sa mort, en rappelant que son exigence de vérité la condamnait à travailler comme "clandestine".
"Qu'ai-je fait?... J'ai seulement écrit ce dont j'étais témoin." On lira également les portraits étonnants que font d'elle son ex-mari, Alexandre Politkovski, l'une de ses amies d'enfance, Elena Morozova, et sa collègue Galina Moursalieva.