Putain de vie... Je t'aime !

Par : Gatienne Pajot
Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
  • Nombre de pages161
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.24 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-37158-164-7
  • EAN9782371581647
  • Date de parution07/06/2019
  • ÉditeurOnde (Editions de L')

Résumé

Durant quatre décennies, Gatienne aura absolument tout connu : violence, placement en foyer, tentatives de suicide, hospitalisations en psychiatrie. Puis, l'apogée de l'horreur, ce matin de juin 2012 avec l'assassinat de sa grande soeur. Dans un dernier râle, étranglée dans la salle de bain par son mari, la pauvre Sabrina a rendu l'âme. Ses dernières paroles furent "Pense aux enfants", mais elles n'auront pas suffi à refréner la folie meurtrière d'un mari jaloux.
Justice a été rendue par la Cour d'assises avec 20 ans de réclusion criminelle, laissant Gatienne dans le plus grand désarroi. Avec courage, et beaucoup auraient succombé à la haine avec un désir de vengeance, elle a préféré choisir le pardon pour rebondir et enfin se reconstruire. A la fin de ce témoignage bouleversant, Gatienne nous livre sa proposition pour faire adopter une loi pour les femmes victimes de violences conjugales qui le souhaitent, permettant de changer leur identité, seul moyen si l'on veut épargner des vies.
Durant quatre décennies, Gatienne aura absolument tout connu : violence, placement en foyer, tentatives de suicide, hospitalisations en psychiatrie. Puis, l'apogée de l'horreur, ce matin de juin 2012 avec l'assassinat de sa grande soeur. Dans un dernier râle, étranglée dans la salle de bain par son mari, la pauvre Sabrina a rendu l'âme. Ses dernières paroles furent "Pense aux enfants", mais elles n'auront pas suffi à refréner la folie meurtrière d'un mari jaloux.
Justice a été rendue par la Cour d'assises avec 20 ans de réclusion criminelle, laissant Gatienne dans le plus grand désarroi. Avec courage, et beaucoup auraient succombé à la haine avec un désir de vengeance, elle a préféré choisir le pardon pour rebondir et enfin se reconstruire. A la fin de ce témoignage bouleversant, Gatienne nous livre sa proposition pour faire adopter une loi pour les femmes victimes de violences conjugales qui le souhaitent, permettant de changer leur identité, seul moyen si l'on veut épargner des vies.