Prostate, le grand sacrifice.... Chroniques et enquêtes d'un médecin généraliste sur le dépistage du cancer de la prostate
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- Nombre de pages152
- PrésentationBroché
- Poids0.142 kg
- Dimensions11,5 cm × 18,0 cm × 1,3 cm
- ISBN978-2-35019-108-9
- EAN9782350191089
- Date de parution28/09/2012
- CollectionTapage
- ÉditeurPascal (Editions)
Résumé
Christophe Desportes, médecin généraliste, a pratiqué le dépistage de la prostate durant plusieurs années avec de s'interroger sur la pertinence de ce geste et sur le fameux taux de PSA. Après "enquête", il est aujourd'hui farouchement opposé à cette pratique. Il décide alors de tenir une chronique "d'Alerte" que nous publions ! Deux études récentes confirment qu'il n'y a aucun intérêt à dépister le cancer de la prostate.
Alors que les défenseurs du dépistage continuent à affirmer une baisse de 20 à 30% de la mortalité des patients ainsi dépistés. Pourtant l'étude ERSPC indique que pour 1500 hommes dépistés 3 mourront dans les 9 ans du cancer de la prostate et pour 1500 hommes non dépistés 4 en mourront. L'astuce consiste donc à dire qu'il y a un mort de moins sur 4 soit 25% de mort en moins, sans évoquer la faible efficacité et les lourdes complications.
L'autre étude PLCO, elle, évoque un taux de surmortalité chez les patients dépistés. Et que dire de ces cas de patients qui ne voulaient pas se faire dépister et qui se retrouvent avec un résultat de PSA (Prise du sang où l'on recherche des antigènes (Antigène Prostatique Spécifique), qui ne sont pas si spécifique du cancer de la prostate, ils peuvent augmenter sans cancer (par exemple pour les grosses prostates) et aussi ne pas augmenter en cas de cancer), c'est tout sauf déontologique, on s'aperçoit que beaucoup d'urologues n'ont pas attendu d'études convaincantes pour démarrer le dépistage (l'AFU, "Association Française d'Urologie" le conseille depuis 2000, mais toujours pas l'HAS "Haute Autorité de la Santé") en 2012...
Cette question du "dépistage" se glisse après quelques années pour l'auteur, médecin généraliste, qui avait lui même préconisé de "faire son bilan de PSA" auprès de ses patients de plus de 50 ans. Puis s'insinue un doute, et s'il n'avait pas lieu d'infliger, aux hommes ce dépistage de plus en plus jeune. Ce livre est la chronique d'un généraliste qui se questionne et qui est de plus en plus suivi dans ce combat par ses confrères et le monde médical "indépendant".
Alors que les défenseurs du dépistage continuent à affirmer une baisse de 20 à 30% de la mortalité des patients ainsi dépistés. Pourtant l'étude ERSPC indique que pour 1500 hommes dépistés 3 mourront dans les 9 ans du cancer de la prostate et pour 1500 hommes non dépistés 4 en mourront. L'astuce consiste donc à dire qu'il y a un mort de moins sur 4 soit 25% de mort en moins, sans évoquer la faible efficacité et les lourdes complications.
L'autre étude PLCO, elle, évoque un taux de surmortalité chez les patients dépistés. Et que dire de ces cas de patients qui ne voulaient pas se faire dépister et qui se retrouvent avec un résultat de PSA (Prise du sang où l'on recherche des antigènes (Antigène Prostatique Spécifique), qui ne sont pas si spécifique du cancer de la prostate, ils peuvent augmenter sans cancer (par exemple pour les grosses prostates) et aussi ne pas augmenter en cas de cancer), c'est tout sauf déontologique, on s'aperçoit que beaucoup d'urologues n'ont pas attendu d'études convaincantes pour démarrer le dépistage (l'AFU, "Association Française d'Urologie" le conseille depuis 2000, mais toujours pas l'HAS "Haute Autorité de la Santé") en 2012...
Cette question du "dépistage" se glisse après quelques années pour l'auteur, médecin généraliste, qui avait lui même préconisé de "faire son bilan de PSA" auprès de ses patients de plus de 50 ans. Puis s'insinue un doute, et s'il n'avait pas lieu d'infliger, aux hommes ce dépistage de plus en plus jeune. Ce livre est la chronique d'un généraliste qui se questionne et qui est de plus en plus suivi dans ce combat par ses confrères et le monde médical "indépendant".
Christophe Desportes, médecin généraliste, a pratiqué le dépistage de la prostate durant plusieurs années avec de s'interroger sur la pertinence de ce geste et sur le fameux taux de PSA. Après "enquête", il est aujourd'hui farouchement opposé à cette pratique. Il décide alors de tenir une chronique "d'Alerte" que nous publions ! Deux études récentes confirment qu'il n'y a aucun intérêt à dépister le cancer de la prostate.
Alors que les défenseurs du dépistage continuent à affirmer une baisse de 20 à 30% de la mortalité des patients ainsi dépistés. Pourtant l'étude ERSPC indique que pour 1500 hommes dépistés 3 mourront dans les 9 ans du cancer de la prostate et pour 1500 hommes non dépistés 4 en mourront. L'astuce consiste donc à dire qu'il y a un mort de moins sur 4 soit 25% de mort en moins, sans évoquer la faible efficacité et les lourdes complications.
L'autre étude PLCO, elle, évoque un taux de surmortalité chez les patients dépistés. Et que dire de ces cas de patients qui ne voulaient pas se faire dépister et qui se retrouvent avec un résultat de PSA (Prise du sang où l'on recherche des antigènes (Antigène Prostatique Spécifique), qui ne sont pas si spécifique du cancer de la prostate, ils peuvent augmenter sans cancer (par exemple pour les grosses prostates) et aussi ne pas augmenter en cas de cancer), c'est tout sauf déontologique, on s'aperçoit que beaucoup d'urologues n'ont pas attendu d'études convaincantes pour démarrer le dépistage (l'AFU, "Association Française d'Urologie" le conseille depuis 2000, mais toujours pas l'HAS "Haute Autorité de la Santé") en 2012...
Cette question du "dépistage" se glisse après quelques années pour l'auteur, médecin généraliste, qui avait lui même préconisé de "faire son bilan de PSA" auprès de ses patients de plus de 50 ans. Puis s'insinue un doute, et s'il n'avait pas lieu d'infliger, aux hommes ce dépistage de plus en plus jeune. Ce livre est la chronique d'un généraliste qui se questionne et qui est de plus en plus suivi dans ce combat par ses confrères et le monde médical "indépendant".
Alors que les défenseurs du dépistage continuent à affirmer une baisse de 20 à 30% de la mortalité des patients ainsi dépistés. Pourtant l'étude ERSPC indique que pour 1500 hommes dépistés 3 mourront dans les 9 ans du cancer de la prostate et pour 1500 hommes non dépistés 4 en mourront. L'astuce consiste donc à dire qu'il y a un mort de moins sur 4 soit 25% de mort en moins, sans évoquer la faible efficacité et les lourdes complications.
L'autre étude PLCO, elle, évoque un taux de surmortalité chez les patients dépistés. Et que dire de ces cas de patients qui ne voulaient pas se faire dépister et qui se retrouvent avec un résultat de PSA (Prise du sang où l'on recherche des antigènes (Antigène Prostatique Spécifique), qui ne sont pas si spécifique du cancer de la prostate, ils peuvent augmenter sans cancer (par exemple pour les grosses prostates) et aussi ne pas augmenter en cas de cancer), c'est tout sauf déontologique, on s'aperçoit que beaucoup d'urologues n'ont pas attendu d'études convaincantes pour démarrer le dépistage (l'AFU, "Association Française d'Urologie" le conseille depuis 2000, mais toujours pas l'HAS "Haute Autorité de la Santé") en 2012...
Cette question du "dépistage" se glisse après quelques années pour l'auteur, médecin généraliste, qui avait lui même préconisé de "faire son bilan de PSA" auprès de ses patients de plus de 50 ans. Puis s'insinue un doute, et s'il n'avait pas lieu d'infliger, aux hommes ce dépistage de plus en plus jeune. Ce livre est la chronique d'un généraliste qui se questionne et qui est de plus en plus suivi dans ce combat par ses confrères et le monde médical "indépendant".