La pièce, riche de différents langages, est une réflexion philosophique et politique sur la science. Cette dernière est-elle un outil de la modernité et du progrès ou le lieu d'un nouvel obscurantisme ? Si le premier acte nous plonge en 1633 en plein procès de Galilée dans une langue retravaillée du XVIIe siècle, au deuxième acte, apparaît Angela, notre contemporaine, jeune chercheuse, mère et intellectuelle en quête de sens.
Le troisième acte nous transporte, pour sa part, dans le monde de l'infiniment grand, celui des étoiles et de l'imaginaire, et dans l'infiniment petit, celui des particules, dans une langue puissamment poétique.
La pièce, riche de différents langages, est une réflexion philosophique et politique sur la science. Cette dernière est-elle un outil de la modernité et du progrès ou le lieu d'un nouvel obscurantisme ? Si le premier acte nous plonge en 1633 en plein procès de Galilée dans une langue retravaillée du XVIIe siècle, au deuxième acte, apparaît Angela, notre contemporaine, jeune chercheuse, mère et intellectuelle en quête de sens.
Le troisième acte nous transporte, pour sa part, dans le monde de l'infiniment grand, celui des étoiles et de l'imaginaire, et dans l'infiniment petit, celui des particules, dans une langue puissamment poétique.