Première jeunesse

Par : Neal Cassady

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  • Nombre de pages310
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.295 kg
  • Dimensions13,6 cm × 21,0 cm × 2,1 cm
  • ISBN2-08-067482-X
  • EAN9782080674821
  • Date de parution16/10/1998
  • ÉditeurFlammarion

Résumé

Arrière-boutiques de coiffeurs pour homme, taudis insalubres, rues chaudes de Denver, jungle des trimards, de la peinture que fait Cassady de l'Entre-deux-guerres - quintessence de l'apprentissage de la solitude au sein d'un monde à jamais révolu - émane le parfum des films muets de Chariot, le vagabond qui a toujours un pied dans le futur. Voilà pourquoi le récit de cette vie errante est capital pour comprendre le mythe de l'ouest sauvage, comme si Cassady lui-même appartenait à l'ultime génération des héros populaires, comme s'il annonçait ce cow-boy urbain, un hors-la-loi. Sa saga de l'Amérique primitive aussi vraie et profonde que du Faulkner, avec un style familier, et sans façon, charme par son ingénuité, mi cocasse mi tragique. De la grande dépression aux sixties LSD, ces mémoires débutent comme du Mark Twain pour s'achever comme du Kerouac. C'est Sur la route, entre Salt Lake City et Denver, que Maud Cassady, en 1926, met au monde son neuvième enfant, NEAL CASSADY. La misère noire du Krach de 1929 et l'alcoolisme paternel ne tardent pas à faire exploser la famille. Commence pour Neal, ballotté entre ses parents, la descente aux enfers. Mais l'énergie est là. Cassady écrit: "à vingt ans j'avais volé 500 voitures et connu autant de femmes". Puis d'errances en rencontres - en 1945 il fait la connaissance de jack Kerouac - de liaisons en prisons, c'est le déclic. Ce type qui n'avait logiquement aucune chance de s'en sortir devient la figure rêvée de la Béat Génération. Sa légende s'achève en février 1968 dans le désert mexicain.
Arrière-boutiques de coiffeurs pour homme, taudis insalubres, rues chaudes de Denver, jungle des trimards, de la peinture que fait Cassady de l'Entre-deux-guerres - quintessence de l'apprentissage de la solitude au sein d'un monde à jamais révolu - émane le parfum des films muets de Chariot, le vagabond qui a toujours un pied dans le futur. Voilà pourquoi le récit de cette vie errante est capital pour comprendre le mythe de l'ouest sauvage, comme si Cassady lui-même appartenait à l'ultime génération des héros populaires, comme s'il annonçait ce cow-boy urbain, un hors-la-loi. Sa saga de l'Amérique primitive aussi vraie et profonde que du Faulkner, avec un style familier, et sans façon, charme par son ingénuité, mi cocasse mi tragique. De la grande dépression aux sixties LSD, ces mémoires débutent comme du Mark Twain pour s'achever comme du Kerouac. C'est Sur la route, entre Salt Lake City et Denver, que Maud Cassady, en 1926, met au monde son neuvième enfant, NEAL CASSADY. La misère noire du Krach de 1929 et l'alcoolisme paternel ne tardent pas à faire exploser la famille. Commence pour Neal, ballotté entre ses parents, la descente aux enfers. Mais l'énergie est là. Cassady écrit: "à vingt ans j'avais volé 500 voitures et connu autant de femmes". Puis d'errances en rencontres - en 1945 il fait la connaissance de jack Kerouac - de liaisons en prisons, c'est le déclic. Ce type qui n'avait logiquement aucune chance de s'en sortir devient la figure rêvée de la Béat Génération. Sa légende s'achève en février 1968 dans le désert mexicain.
Première jeunesse
Neal Cassady
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