Précis de droit des gens. Principes et systématique

Par : Georges Scelle

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  • Nombre de pages312
  • PrésentationBroché
  • Poids0.525 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-247-07874-5
  • EAN9782247078745
  • Date de parution13/11/2008
  • CollectionBibliothèque Dalloz
  • ÉditeurDalloz

Résumé

Naissance et technique du droit, organisation politique, obéissent au même processus dans toutes les sociétés : dans les Etats où l'étude en a été le plus poussée, dans les collectivités préexistantes à l'Etat que celui-ci a englobées et qu'on peut qualifier d'intra-étatiques, dans celles qui dérivent de la coexistence des Etats, sociétés interétatiques ou superétatiques, dites internationales. Celles-ci affectent une large diversité de formes à l'intérieur de la société humaine qui les englobe. On peut les définir en disant qu' " une société internationale est une collectivité d'individus, sujets de droit, appartenant déjà à des sociétés nationales ". Nous prenons ainsi l'Etat pour point de départ parce qu'il est pour nous un concept familier et que tout homme appartient nécessairement à une société nationale. Nous avons, au contraire, beaucoup moins conscience d'appartenir, en même temps, et tout aussi involontairement, à des sociétés internationales et notamment à la plus grande d'entre elles : la société humaine. C'est pourtant un fait universel et normal. Georges Scelle.
Naissance et technique du droit, organisation politique, obéissent au même processus dans toutes les sociétés : dans les Etats où l'étude en a été le plus poussée, dans les collectivités préexistantes à l'Etat que celui-ci a englobées et qu'on peut qualifier d'intra-étatiques, dans celles qui dérivent de la coexistence des Etats, sociétés interétatiques ou superétatiques, dites internationales. Celles-ci affectent une large diversité de formes à l'intérieur de la société humaine qui les englobe. On peut les définir en disant qu' " une société internationale est une collectivité d'individus, sujets de droit, appartenant déjà à des sociétés nationales ". Nous prenons ainsi l'Etat pour point de départ parce qu'il est pour nous un concept familier et que tout homme appartient nécessairement à une société nationale. Nous avons, au contraire, beaucoup moins conscience d'appartenir, en même temps, et tout aussi involontairement, à des sociétés internationales et notamment à la plus grande d'entre elles : la société humaine. C'est pourtant un fait universel et normal. Georges Scelle.