Pourquoi la psychanalyse ?

Par : Elisabeth Roudinesco

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  • Nombre de pages194
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.18 kg
  • Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-08-121894-9
  • EAN9782081218949
  • Date de parution01/04/2009
  • CollectionChamps Essais
  • ÉditeurFlammarion

Résumé

Pourquoi la psychanalyse ? Pourquoi consacrer tant de temps à la cure par la parole quand les médicaments, parce qu'ils agissent directement sur les symptômes des maladies nerveuses et mentales, donnent des résultats plus rapides ? Les théoriciens du cerveau-machine n'ont-ils pas en outre réduit en cendres les chimériques constructions freudiennes ? Dans ces conditions, la psychanalyse a-t-elle un avenir ? C'est à ces trois questions qu'Elisabeth Roudinesco répond dans cet essai combatif, informé, résolument critique envers les prétentions contemporaines à convertir la science en religion et à regarder l'homme comme un automate.
Les médicaments ? Chacun sait que la France fait grande consommation de psychotropes pour soigner l'angoisse, la dépression, la folie, les névroses, et on ne saurait nier leur efficacité. Faut-il pour autant réduire la pensée à un neurone et confondre le désir avec une sécrétion chimique ?
Pourquoi la psychanalyse ? Pourquoi consacrer tant de temps à la cure par la parole quand les médicaments, parce qu'ils agissent directement sur les symptômes des maladies nerveuses et mentales, donnent des résultats plus rapides ? Les théoriciens du cerveau-machine n'ont-ils pas en outre réduit en cendres les chimériques constructions freudiennes ? Dans ces conditions, la psychanalyse a-t-elle un avenir ? C'est à ces trois questions qu'Elisabeth Roudinesco répond dans cet essai combatif, informé, résolument critique envers les prétentions contemporaines à convertir la science en religion et à regarder l'homme comme un automate.
Les médicaments ? Chacun sait que la France fait grande consommation de psychotropes pour soigner l'angoisse, la dépression, la folie, les névroses, et on ne saurait nier leur efficacité. Faut-il pour autant réduire la pensée à un neurone et confondre le désir avec une sécrétion chimique ?