Pour Wilhelm. Suivi d'une correspondance inédite (1941-1954)
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- Nombre de pages215
- PrésentationBroché
- Poids0.35 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 2,0 cm
- ISBN2-84187-646-2
- EAN9782841876464
- Date de parution17/11/2004
- ÉditeurArchipel (L')
- TraducteurMichel Cresta
- PréfacierDaniel Barenboim
Résumé
Il y a un mystère Furtwängler : cet alliage de sensualité et d'intelligence au service de la musique, cette foi inébranlable en la grandeur de l'art allemand et dans la supériorité de l'esprit, ce mélange d'exigence pour l'artiste et d'indulgence pour l'humanité... Disparu le 30 novembre 1954, Furtwängler n'a jamais cessé d'incarner, grâce à son legs discographique, la figure même du chef d'orchestre. Mais qui était ce mythe vivant ? Elisabeth Furtwängler, qui fut son épouse durant les onze dernières années de sa vie, mais qui l'avait entendu diriger Don Giovanni dès 1930, lève le voile dans ce livre-hommage où revit l'homme Furtwängler. Un homme volontiers solitaire, pétri de littérature, amoureux de randonnées en montagne, sensible à l'extrême, mais un homme capable de colères froides pour préserver son honneur, parfois facétieux, nullement opposé à la musique de son temps, aussi bon pianiste que chef, mais compositeur avant tout. Un homme qui, écrit Daniel Barenboïm, " pensait avec le cœur et sentait avec l'esprit ". Jalonné de rencontres avec des hommes remarquables - Yehudi Menuhin, Bruno Walter, Dietrich Fischer-Dieskau, Richard Strauss ou Walter Legge -, ce livre de souvenirs est complété de dix-sept lettres inédites où se dévoile un Furtwängler intime et secret.
Il y a un mystère Furtwängler : cet alliage de sensualité et d'intelligence au service de la musique, cette foi inébranlable en la grandeur de l'art allemand et dans la supériorité de l'esprit, ce mélange d'exigence pour l'artiste et d'indulgence pour l'humanité... Disparu le 30 novembre 1954, Furtwängler n'a jamais cessé d'incarner, grâce à son legs discographique, la figure même du chef d'orchestre. Mais qui était ce mythe vivant ? Elisabeth Furtwängler, qui fut son épouse durant les onze dernières années de sa vie, mais qui l'avait entendu diriger Don Giovanni dès 1930, lève le voile dans ce livre-hommage où revit l'homme Furtwängler. Un homme volontiers solitaire, pétri de littérature, amoureux de randonnées en montagne, sensible à l'extrême, mais un homme capable de colères froides pour préserver son honneur, parfois facétieux, nullement opposé à la musique de son temps, aussi bon pianiste que chef, mais compositeur avant tout. Un homme qui, écrit Daniel Barenboïm, " pensait avec le cœur et sentait avec l'esprit ". Jalonné de rencontres avec des hommes remarquables - Yehudi Menuhin, Bruno Walter, Dietrich Fischer-Dieskau, Richard Strauss ou Walter Legge -, ce livre de souvenirs est complété de dix-sept lettres inédites où se dévoile un Furtwängler intime et secret.