Pour une politique de la racaille. Immigré-e-s, indigènes et jeunes de banlieues
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages174
- PrésentationBroché
- Poids0.205 kg
- Dimensions14,5 cm × 18,5 cm × 1,3 cm
- ISBN2-84597-186-9
- EAN9782845971868
- Date de parution13/04/2006
- CollectionEssais et documents
- ÉditeurTextuel
Résumé
Sadri Khiari propose ici une réflexion sans tabous sur le legs colonial, l'insertion des populations issues de l'immigration, la place de l'Islam dans la République... Et ce dans l'esprit des thèses développées par l'Appel des indigènes de la République. Ces questions sont au cœur de l'élaboration d'une nouvelle identité de gauche en France. S'inspirant d'Albert Memmi, de Frantz Fanon ou encore de Malcolm X, l'auteur revient de manière critique sur l'histoire des luttes de l'immigration et des mouvements antiracistes. Il ébauche alors les contours d'une " politique de la racaille " fondée sur la contestation des logiques postcoloniales toujours à l'œuvre, insérée dans une dynamique plus large d'émancipation.
Sadri Khiari propose ici une réflexion sans tabous sur le legs colonial, l'insertion des populations issues de l'immigration, la place de l'Islam dans la République... Et ce dans l'esprit des thèses développées par l'Appel des indigènes de la République. Ces questions sont au cœur de l'élaboration d'une nouvelle identité de gauche en France. S'inspirant d'Albert Memmi, de Frantz Fanon ou encore de Malcolm X, l'auteur revient de manière critique sur l'histoire des luttes de l'immigration et des mouvements antiracistes. Il ébauche alors les contours d'une " politique de la racaille " fondée sur la contestation des logiques postcoloniales toujours à l'œuvre, insérée dans une dynamique plus large d'émancipation.