Les Grecs n'utilisaient pas moins de vingt-six mots pour désigner les différentes formes de l'amour : tous, à un titre ou un autre (passion, tendresse, affection, amour filial, désir, amour de la patrie...), pourraient s'appliquer à l'attachement des hommes pour la Corse. Les Grecs, du reste, ne connaissaient qu'un seul terme pour nommer l'île : kallistè, la plus belle. D'une beauté effectivement inépuisable et somptueuse, la Corse surprend toujours avec ce qu'on en attend : on la croit violente, elle est fraternelle ; on l'imagine inaccessible et sauvage, elle est proche et charmeuse ; on la dit farouche, elle est humaine, douce et accueillante. C'est de son portrait, intime et tendre, chaleureux et sensuel, que Francis Rombaldi, dans ce livre, nous fait l'offrande.
Les Grecs n'utilisaient pas moins de vingt-six mots pour désigner les différentes formes de l'amour : tous, à un titre ou un autre (passion, tendresse, affection, amour filial, désir, amour de la patrie...), pourraient s'appliquer à l'attachement des hommes pour la Corse. Les Grecs, du reste, ne connaissaient qu'un seul terme pour nommer l'île : kallistè, la plus belle. D'une beauté effectivement inépuisable et somptueuse, la Corse surprend toujours avec ce qu'on en attend : on la croit violente, elle est fraternelle ; on l'imagine inaccessible et sauvage, elle est proche et charmeuse ; on la dit farouche, elle est humaine, douce et accueillante. C'est de son portrait, intime et tendre, chaleureux et sensuel, que Francis Rombaldi, dans ce livre, nous fait l'offrande.