Portraits De L'Egypte Romaine. Paris, Musee Du Louvre, 5 Octobre 1998, 4 Janvier 1999

Par : Roberta Cortopassi, Marie-France Aubert

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages181
  • PrésentationRelié
  • Poids1.05 kg
  • Dimensions22,7 cm × 29,1 cm × 1,7 cm
  • ISBN2-7118-3670-3
  • EAN9782711836703
  • Date de parution17/09/1998
  • ÉditeurRMN

Résumé

En l'an 30 avant J.-C., avec la mort de Cléopâtre, l'Egypte perd sa souveraineté et passe sous domination romaine. Une nouvelle phase débute, qui va durer quatre siècles et se clore par l'assujettissement de l'Egypte à Byzance, en même temps que triomphe le christianisme. Méprisée jusqu'à une période récente, l'Egypte romaine commence à être reconnue. Les fameux portraits dits " du Fayoum " ont contribué à mettre en lumière cette civilisation originale et attachante, où deux cultures -égyptienne et gréco-romaine- se côtoient ou, plutôt, se suprposent sans jamais se fondre. Ces émouvants portraits accompagnaient le défunt dans la tombe. Ils sont emblématiques de l'art funéraire de cette époque, tel que l'illustre l'exposition présentée au musée du Louvre : la momie est habillée de parures plus modestes, plus fragiles qu'au temps des pharaons, mais les anciens savoir-faire persistent, transformant ces humbles matériaux en matières précieuses. Linceuls en toile de lin, peintures sur bois, masques en plâtre, cartonnages, stèles sont les témoins d'un art vivant et coloré, où l'accent est mis sur la personnalité du défunt, dans un style tout en concision. Peut-être est-ce leur parfaite simplicité qui rapproche si facilement de nous ces très anciens portraits...
En l'an 30 avant J.-C., avec la mort de Cléopâtre, l'Egypte perd sa souveraineté et passe sous domination romaine. Une nouvelle phase débute, qui va durer quatre siècles et se clore par l'assujettissement de l'Egypte à Byzance, en même temps que triomphe le christianisme. Méprisée jusqu'à une période récente, l'Egypte romaine commence à être reconnue. Les fameux portraits dits " du Fayoum " ont contribué à mettre en lumière cette civilisation originale et attachante, où deux cultures -égyptienne et gréco-romaine- se côtoient ou, plutôt, se suprposent sans jamais se fondre. Ces émouvants portraits accompagnaient le défunt dans la tombe. Ils sont emblématiques de l'art funéraire de cette époque, tel que l'illustre l'exposition présentée au musée du Louvre : la momie est habillée de parures plus modestes, plus fragiles qu'au temps des pharaons, mais les anciens savoir-faire persistent, transformant ces humbles matériaux en matières précieuses. Linceuls en toile de lin, peintures sur bois, masques en plâtre, cartonnages, stèles sont les témoins d'un art vivant et coloré, où l'accent est mis sur la personnalité du défunt, dans un style tout en concision. Peut-être est-ce leur parfaite simplicité qui rapproche si facilement de nous ces très anciens portraits...