Porter la main sur soi. Traité du suicide
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- Nombre de pages156
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.165 kg
- Dimensions11,5 cm × 21,8 cm × 1,4 cm
- ISBN2-7427-0894-4
- EAN9782742708949
- Date de parution01/10/1996
- CollectionLettres allemandes
- ÉditeurActes Sud
Résumé
"Le texte qui suit se situe au-delà de la psychologie et de la sociologie. Il commence où s'arrête la suicidologie scientifique. J'ai essayé de ne pas voir la mort volontaire de l'extérieur, dans l'optique des vivants ou des survivants, mais depuis le for intérieur de ceux que j'appelle suicidaires ou suicidants. Ainsi donc une "phénoménologie de la mort volontaire" ? Ce serait placer la barre trop haut.
J'ai renoncé à tous les concepts dérivés du mot logos et aux termes spécialisés : par décence envers la recherche positive. Et aussi par scepticisme. Tout ce qu'il pourrait y avoir ici de connotations apologétiques trahit en fait ma réaction envers certains chercheurs : ceux qui étudient le "suicide" sans connaître l'homme préoccupé par la mort volontaire. Ce qu'il ressent est absurde et paradoxal.
J'ai simplement voulu comprendre les contradictions insolubles de la condition suicidaire et en rendre témoignage, pour autant que la langue le permette", J. A. (Extrait de la préface).
J'ai renoncé à tous les concepts dérivés du mot logos et aux termes spécialisés : par décence envers la recherche positive. Et aussi par scepticisme. Tout ce qu'il pourrait y avoir ici de connotations apologétiques trahit en fait ma réaction envers certains chercheurs : ceux qui étudient le "suicide" sans connaître l'homme préoccupé par la mort volontaire. Ce qu'il ressent est absurde et paradoxal.
J'ai simplement voulu comprendre les contradictions insolubles de la condition suicidaire et en rendre témoignage, pour autant que la langue le permette", J. A. (Extrait de la préface).
"Le texte qui suit se situe au-delà de la psychologie et de la sociologie. Il commence où s'arrête la suicidologie scientifique. J'ai essayé de ne pas voir la mort volontaire de l'extérieur, dans l'optique des vivants ou des survivants, mais depuis le for intérieur de ceux que j'appelle suicidaires ou suicidants. Ainsi donc une "phénoménologie de la mort volontaire" ? Ce serait placer la barre trop haut.
J'ai renoncé à tous les concepts dérivés du mot logos et aux termes spécialisés : par décence envers la recherche positive. Et aussi par scepticisme. Tout ce qu'il pourrait y avoir ici de connotations apologétiques trahit en fait ma réaction envers certains chercheurs : ceux qui étudient le "suicide" sans connaître l'homme préoccupé par la mort volontaire. Ce qu'il ressent est absurde et paradoxal.
J'ai simplement voulu comprendre les contradictions insolubles de la condition suicidaire et en rendre témoignage, pour autant que la langue le permette", J. A. (Extrait de la préface).
J'ai renoncé à tous les concepts dérivés du mot logos et aux termes spécialisés : par décence envers la recherche positive. Et aussi par scepticisme. Tout ce qu'il pourrait y avoir ici de connotations apologétiques trahit en fait ma réaction envers certains chercheurs : ceux qui étudient le "suicide" sans connaître l'homme préoccupé par la mort volontaire. Ce qu'il ressent est absurde et paradoxal.
J'ai simplement voulu comprendre les contradictions insolubles de la condition suicidaire et en rendre témoignage, pour autant que la langue le permette", J. A. (Extrait de la préface).