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Poétiques de la métamorphose dans l'espace germanique et européen
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- Nombre de pages362
- PrésentationBroché
- Poids0.59 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,5 cm
- ISBN978-2-87775-527-6
- EAN9782877755276
- Date de parution01/11/2012
- ÉditeurPU Rouen
Résumé
Le motif mythologique de la métamorphose n'est pas un simple élément thématique, mais un principe poétique et esthétique fondamental témoignant de la dimension autoréflexive et processuelle des oeuvres. Les vingt-deux études réunies ici montrent que de Kafka à Dada, de 'Thomas Mann à Claude Simon, des poètes baroques à Paul Celan, la métamorphose n'est pas seulement racontée, mais accomplie dans la matière même du langage.
Paradoxale, elle est à la fois construction d'un sens et symptôme de son altération. Elle déplace l'attention de l'oeuvre achevée au processus créateur, de la forme proprement dite aux forces qui lui donnent lieu - mais qui, aussi, la menacent et la déstabilisent. Son enjeu n'est pas pour autant, comme on dit, "purement formel" : il y va du statut du sujet, de son unité et de son autonomie, de la nature de son rapport au monde.
Une réflexion que la littérature produit bien plus qu'elle ne la reproduit.
Paradoxale, elle est à la fois construction d'un sens et symptôme de son altération. Elle déplace l'attention de l'oeuvre achevée au processus créateur, de la forme proprement dite aux forces qui lui donnent lieu - mais qui, aussi, la menacent et la déstabilisent. Son enjeu n'est pas pour autant, comme on dit, "purement formel" : il y va du statut du sujet, de son unité et de son autonomie, de la nature de son rapport au monde.
Une réflexion que la littérature produit bien plus qu'elle ne la reproduit.
Le motif mythologique de la métamorphose n'est pas un simple élément thématique, mais un principe poétique et esthétique fondamental témoignant de la dimension autoréflexive et processuelle des oeuvres. Les vingt-deux études réunies ici montrent que de Kafka à Dada, de 'Thomas Mann à Claude Simon, des poètes baroques à Paul Celan, la métamorphose n'est pas seulement racontée, mais accomplie dans la matière même du langage.
Paradoxale, elle est à la fois construction d'un sens et symptôme de son altération. Elle déplace l'attention de l'oeuvre achevée au processus créateur, de la forme proprement dite aux forces qui lui donnent lieu - mais qui, aussi, la menacent et la déstabilisent. Son enjeu n'est pas pour autant, comme on dit, "purement formel" : il y va du statut du sujet, de son unité et de son autonomie, de la nature de son rapport au monde.
Une réflexion que la littérature produit bien plus qu'elle ne la reproduit.
Paradoxale, elle est à la fois construction d'un sens et symptôme de son altération. Elle déplace l'attention de l'oeuvre achevée au processus créateur, de la forme proprement dite aux forces qui lui donnent lieu - mais qui, aussi, la menacent et la déstabilisent. Son enjeu n'est pas pour autant, comme on dit, "purement formel" : il y va du statut du sujet, de son unité et de son autonomie, de la nature de son rapport au monde.
Une réflexion que la littérature produit bien plus qu'elle ne la reproduit.
