Poèmes tristes pas mauvais et poèmes joyeux presque bons

Par : Anaël Castelein

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  • Nombre de pages58
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.044 kg
  • Dimensions10,0 cm × 15,0 cm × 0,5 cm
  • ISBN979-10-93160-65-8
  • EAN9791093160658
  • Date de parution18/11/2021
  • Collection#oneshot
  • ÉditeurVanloo

Résumé

Ce livre traite de la mécanique des fluides. Le fluide c'est la langue. La langue y est un terrain de jeu, qui avance en s'appuyant sur ses propres rouages, assonances, allitérations, ressemblances, homophonies, sons et rythmes. La mécanique d'une pensée qui s'articule dans la bouche. Tout fonctionne comme un jeu d'engrenages. L'homme est machine, machine à mots, être tout de technicité, comme prisonnier d'un clavier d'ordinateur, et même d'un correcteur automatique d'orthographe.
On sent bien que les mots lui sont suggérés par une force inconnue, des algorithmes qu'il ne connait pas. L'homme machine ignore la technique. Il est stupide ou malin, c'est selon. Joyeux ou triste, c'est selon. C'est virevoltant et drôle. Puisque ça ne cherche pas à dire. Fouillez ! Vous n'y trouverez aucun vers à fondre dans le bronze. Si l'on s'aventure vers la tristesse ce n'est pas elle qu'on dit, mais des mots qui s'imbriquent et dont on sent que l'espace entre eux, jamais ils ne le pourront combler.
Ce livre traite de la mécanique des fluides. Le fluide c'est la langue. La langue y est un terrain de jeu, qui avance en s'appuyant sur ses propres rouages, assonances, allitérations, ressemblances, homophonies, sons et rythmes. La mécanique d'une pensée qui s'articule dans la bouche. Tout fonctionne comme un jeu d'engrenages. L'homme est machine, machine à mots, être tout de technicité, comme prisonnier d'un clavier d'ordinateur, et même d'un correcteur automatique d'orthographe.
On sent bien que les mots lui sont suggérés par une force inconnue, des algorithmes qu'il ne connait pas. L'homme machine ignore la technique. Il est stupide ou malin, c'est selon. Joyeux ou triste, c'est selon. C'est virevoltant et drôle. Puisque ça ne cherche pas à dire. Fouillez ! Vous n'y trouverez aucun vers à fondre dans le bronze. Si l'on s'aventure vers la tristesse ce n'est pas elle qu'on dit, mais des mots qui s'imbriquent et dont on sent que l'espace entre eux, jamais ils ne le pourront combler.