Pierrot lunaire ; Les dernières fêtes ; Pierrot narcisse
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages174
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.205 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,2 cm
- ISBN2-7475-7616-7
- EAN9782747576161
- Date de parution02/01/2005
- CollectionLes introuvables
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierAlain Néry
Résumé
Albert Giraud - Pseudonyme de Marie Emile Albert Kayenbergh (Louvain 1860 - Bruxelles 1929) - réunit en 1898, sous le titre Héros et Pierrot, trois oeuvres publiées antérieurement : Pierrot lunaire (1884), Pierrot narcisse (1887), Les dernières fêtes (1891). D'accès devenu plus que problématique, le Pierrot lunaire jouit d'une paradoxale notoriété du fait de l'oeuvre musicale de Schönberg, composée en 1912, inspirée par les poèmes de ce recueil et portant le même titre.
Or, Schönberg a utilisé la traduction partielle, et surtout fort infidèle de ces poèmes par l'écrivain allemand Hartleben. Près de trente ans auparavant, Giraud ne pouvait guère pressentir l'étonnant destin de sa composition. Seule l'intéressait la théorie de l'Art pour l'Art, faisant de l'esthétique poétique un outil rigoureux. Son petit volume s'inspire du cadre de la commedia dell'arte et baigne dans une nostalgie proche des Fêtes galantes de Verlaine.
L'on est tenté de dissocier ce Pierrot lunaire, oeuvre de jeunesse savoureuse d'insolence et de verve, des oeuvres qui l'ont suivi, au ton plus grave. L'écrivain se confine à partir de Pierrot narcisse, dont la solitude est l'argument essentiel, dans un système narcissique, empreint d'une ironie douloureuse. L'influence parnassienne est révélée en outre par Les dernières fêtes, pièces qui annoncent leur auteur comme un parfait disciple de Banville et de Leconte de Lisle.
Or, Schönberg a utilisé la traduction partielle, et surtout fort infidèle de ces poèmes par l'écrivain allemand Hartleben. Près de trente ans auparavant, Giraud ne pouvait guère pressentir l'étonnant destin de sa composition. Seule l'intéressait la théorie de l'Art pour l'Art, faisant de l'esthétique poétique un outil rigoureux. Son petit volume s'inspire du cadre de la commedia dell'arte et baigne dans une nostalgie proche des Fêtes galantes de Verlaine.
L'on est tenté de dissocier ce Pierrot lunaire, oeuvre de jeunesse savoureuse d'insolence et de verve, des oeuvres qui l'ont suivi, au ton plus grave. L'écrivain se confine à partir de Pierrot narcisse, dont la solitude est l'argument essentiel, dans un système narcissique, empreint d'une ironie douloureuse. L'influence parnassienne est révélée en outre par Les dernières fêtes, pièces qui annoncent leur auteur comme un parfait disciple de Banville et de Leconte de Lisle.
Albert Giraud - Pseudonyme de Marie Emile Albert Kayenbergh (Louvain 1860 - Bruxelles 1929) - réunit en 1898, sous le titre Héros et Pierrot, trois oeuvres publiées antérieurement : Pierrot lunaire (1884), Pierrot narcisse (1887), Les dernières fêtes (1891). D'accès devenu plus que problématique, le Pierrot lunaire jouit d'une paradoxale notoriété du fait de l'oeuvre musicale de Schönberg, composée en 1912, inspirée par les poèmes de ce recueil et portant le même titre.
Or, Schönberg a utilisé la traduction partielle, et surtout fort infidèle de ces poèmes par l'écrivain allemand Hartleben. Près de trente ans auparavant, Giraud ne pouvait guère pressentir l'étonnant destin de sa composition. Seule l'intéressait la théorie de l'Art pour l'Art, faisant de l'esthétique poétique un outil rigoureux. Son petit volume s'inspire du cadre de la commedia dell'arte et baigne dans une nostalgie proche des Fêtes galantes de Verlaine.
L'on est tenté de dissocier ce Pierrot lunaire, oeuvre de jeunesse savoureuse d'insolence et de verve, des oeuvres qui l'ont suivi, au ton plus grave. L'écrivain se confine à partir de Pierrot narcisse, dont la solitude est l'argument essentiel, dans un système narcissique, empreint d'une ironie douloureuse. L'influence parnassienne est révélée en outre par Les dernières fêtes, pièces qui annoncent leur auteur comme un parfait disciple de Banville et de Leconte de Lisle.
Or, Schönberg a utilisé la traduction partielle, et surtout fort infidèle de ces poèmes par l'écrivain allemand Hartleben. Près de trente ans auparavant, Giraud ne pouvait guère pressentir l'étonnant destin de sa composition. Seule l'intéressait la théorie de l'Art pour l'Art, faisant de l'esthétique poétique un outil rigoureux. Son petit volume s'inspire du cadre de la commedia dell'arte et baigne dans une nostalgie proche des Fêtes galantes de Verlaine.
L'on est tenté de dissocier ce Pierrot lunaire, oeuvre de jeunesse savoureuse d'insolence et de verve, des oeuvres qui l'ont suivi, au ton plus grave. L'écrivain se confine à partir de Pierrot narcisse, dont la solitude est l'argument essentiel, dans un système narcissique, empreint d'une ironie douloureuse. L'influence parnassienne est révélée en outre par Les dernières fêtes, pièces qui annoncent leur auteur comme un parfait disciple de Banville et de Leconte de Lisle.