PHYSIOLOGIE ANIMALE.. Tome 1, Les cellules dans l'organisme
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- Nombre de pages256
- PrésentationBroché
- Poids0.32 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,0 cm × 1,4 cm
- ISBN2-225-75944-8
- EAN9782225759444
- Date de parution01/12/1997
- Collectionabreges de sciences
- ÉditeurElsevier Masson
Résumé
Dans le présent ouvrage, nous avons tenté de représenter divers aspects de la physiologie contemporaine aux étudiants qui s'engagent dans des études de biologie.
L'objectif était de situer la physiologie animale, en tant que discipline carrefour qui étudie l'être vivant en empruntant aussi bien à la biochimie, qu'à la génétique, ou à l'immunologie, la cytologie, la pathologie,etc., avec pour finalité une meilleure compréhension des processus qui assurent la survie de l'individu et la pérennité de l'espèce. Dans le cas des Métazoaires se pose le problème des niveaux auxquels sont abordés les divers mécanismes de contrôle et de coordination entre les cellules de chaque individu. L'approche est nécessairement globale, " de la cellule à l'organisme ", et l'on a choisi d'envisager la physiologie de quelques types cellulaires, dont les particularités sont marquées, puis les communications qui peuvent s'établir entre les diverses cellules d'un organisme et la complexité des systèmes de coordination.
Le cadre retenu est celui des programmes actuels du premier cycle d'études universitaires. Ceci a conduit à faire des choix dans les thèmes abordés, pour aboutir à un ouvrage dont le volume est volontairement limité et qui ne veut être ni un résumé, ni un aide-mémoire.
Les aspects méthodologiques de l'approche expérimentale ont été mentionnés aussi souvent qu'il était possible, afin de bien souligner que la physiologie n'est pas fait de connaissances dogmatiques, mais ne progresse qu'avec les moyens expérimentaux dont elle dispose. Dans le même esprit, l'écriture au conditionnel a souvent été employée, ce qui pourra gêner certains lecteurs novices, mais qui nous paraît préserver leur sens critique vis-à-vis de la chose écrite.
Enfin, la physiologie animale ne saurait se concevoir en ignorant les grandes fonctions d'un organisme, mais il était exclu de traiter, en un seul volume, à la fois les aspects cellulaires, les relations intercellulaires et la coordination du fonctionnement de l'ensemble dans le cadre de fonctions telles que la circulation, la respiration, la régulation du métabolisme hydro-minéral ou la reproduction... ; ces aspects seront envisagés dans un ouvrage ultérieur.
Dans le présent ouvrage, nous avons tenté de représenter divers aspects de la physiologie contemporaine aux étudiants qui s'engagent dans des études de biologie.
L'objectif était de situer la physiologie animale, en tant que discipline carrefour qui étudie l'être vivant en empruntant aussi bien à la biochimie, qu'à la génétique, ou à l'immunologie, la cytologie, la pathologie,etc., avec pour finalité une meilleure compréhension des processus qui assurent la survie de l'individu et la pérennité de l'espèce. Dans le cas des Métazoaires se pose le problème des niveaux auxquels sont abordés les divers mécanismes de contrôle et de coordination entre les cellules de chaque individu. L'approche est nécessairement globale, " de la cellule à l'organisme ", et l'on a choisi d'envisager la physiologie de quelques types cellulaires, dont les particularités sont marquées, puis les communications qui peuvent s'établir entre les diverses cellules d'un organisme et la complexité des systèmes de coordination.
Le cadre retenu est celui des programmes actuels du premier cycle d'études universitaires. Ceci a conduit à faire des choix dans les thèmes abordés, pour aboutir à un ouvrage dont le volume est volontairement limité et qui ne veut être ni un résumé, ni un aide-mémoire.
Les aspects méthodologiques de l'approche expérimentale ont été mentionnés aussi souvent qu'il était possible, afin de bien souligner que la physiologie n'est pas fait de connaissances dogmatiques, mais ne progresse qu'avec les moyens expérimentaux dont elle dispose. Dans le même esprit, l'écriture au conditionnel a souvent été employée, ce qui pourra gêner certains lecteurs novices, mais qui nous paraît préserver leur sens critique vis-à-vis de la chose écrite.
Enfin, la physiologie animale ne saurait se concevoir en ignorant les grandes fonctions d'un organisme, mais il était exclu de traiter, en un seul volume, à la fois les aspects cellulaires, les relations intercellulaires et la coordination du fonctionnement de l'ensemble dans le cadre de fonctions telles que la circulation, la respiration, la régulation du métabolisme hydro-minéral ou la reproduction... ; ces aspects seront envisagés dans un ouvrage ultérieur.