Physiocratie

Par : François Quesnay

Formats :

  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages448
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.305 kg
  • Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-08-121127-8
  • EAN9782081211278
  • Date de parution19/11/2008
  • CollectionGF
  • ÉditeurFlammarion

Résumé

Ami de Mirabeau, Diderot et d'Alembert, collaborateur de l'Encyclopédie et médecin touche-à-tout, François Quesnay fut l'un des principaux représentants de la physiocratie, école de pensée très en vogue au XVIIIe siècle et dont le nom signifie, littéralement, " gouvernement par la nature ". Selon les physiocrates, l'économie ne saurait avoir d'autre fondement que l'agriculture, seule productrice de richesses, l'industrie et le commerce se contentant de transformer des produits issus de la terre. Avec la théorie du " royaume agricole " exposée dans Physiocratie, véritable idéal économico-politique d'un Etat fondé sur la nature, la terre, la liberté et le " despotisme légal ", Quesnay proposa, avant Adam Smith, une approche systématique de l'économie, et jeta, par sa critique du colbertisme et sa réflexion sur le libre-échange, les bases de l'économie politique moderne.
Ami de Mirabeau, Diderot et d'Alembert, collaborateur de l'Encyclopédie et médecin touche-à-tout, François Quesnay fut l'un des principaux représentants de la physiocratie, école de pensée très en vogue au XVIIIe siècle et dont le nom signifie, littéralement, " gouvernement par la nature ". Selon les physiocrates, l'économie ne saurait avoir d'autre fondement que l'agriculture, seule productrice de richesses, l'industrie et le commerce se contentant de transformer des produits issus de la terre. Avec la théorie du " royaume agricole " exposée dans Physiocratie, véritable idéal économico-politique d'un Etat fondé sur la nature, la terre, la liberté et le " despotisme légal ", Quesnay proposa, avant Adam Smith, une approche systématique de l'économie, et jeta, par sa critique du colbertisme et sa réflexion sur le libre-échange, les bases de l'économie politique moderne.