Pharaon : dieu ou roi des hommes ?. Survivances dans les traditions négro-africaines
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages290
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.44 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-336-48364-1
- EAN9782336483641
- Date de parution05/06/2025
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierAboubacry Moussa Lam
Résumé
La divinité du souverain égyptien se fonde sur une idéologie défendue par un clergé au service de la royauté dans une société profondément religieuse. On peut même parler d'une instrumentalisation de la religion à des fins politiques. En effet, les limites de la divinité de Pharaon apparaissent également à travers la littérature - surtout celle des périodes intermédiaires - qui présente Pharaon comme un être humain aussi vulnérable que le commun des mortels.
L'impact de cette conception sur les traditions africaines ne fait l'ombre d'aucun doute. L'ambivalence qui entoure la personne de Pharaon, les fondements politico-religieux de sa divinité, la signification des rites d'intronisation et de couronnement et les limites de sa divinité ont survécu en Afrique. Cette représentation de la royauté, commune entre l'Egypte et le reste de l'Afrique Noire, est à verser dans les arguments qui militent en faveur d'une origine égyptienne des populations négro-africaines et leur unité culturelle réalisée dans la basse vallée du Nil.
L'impact de cette conception sur les traditions africaines ne fait l'ombre d'aucun doute. L'ambivalence qui entoure la personne de Pharaon, les fondements politico-religieux de sa divinité, la signification des rites d'intronisation et de couronnement et les limites de sa divinité ont survécu en Afrique. Cette représentation de la royauté, commune entre l'Egypte et le reste de l'Afrique Noire, est à verser dans les arguments qui militent en faveur d'une origine égyptienne des populations négro-africaines et leur unité culturelle réalisée dans la basse vallée du Nil.
La divinité du souverain égyptien se fonde sur une idéologie défendue par un clergé au service de la royauté dans une société profondément religieuse. On peut même parler d'une instrumentalisation de la religion à des fins politiques. En effet, les limites de la divinité de Pharaon apparaissent également à travers la littérature - surtout celle des périodes intermédiaires - qui présente Pharaon comme un être humain aussi vulnérable que le commun des mortels.
L'impact de cette conception sur les traditions africaines ne fait l'ombre d'aucun doute. L'ambivalence qui entoure la personne de Pharaon, les fondements politico-religieux de sa divinité, la signification des rites d'intronisation et de couronnement et les limites de sa divinité ont survécu en Afrique. Cette représentation de la royauté, commune entre l'Egypte et le reste de l'Afrique Noire, est à verser dans les arguments qui militent en faveur d'une origine égyptienne des populations négro-africaines et leur unité culturelle réalisée dans la basse vallée du Nil.
L'impact de cette conception sur les traditions africaines ne fait l'ombre d'aucun doute. L'ambivalence qui entoure la personne de Pharaon, les fondements politico-religieux de sa divinité, la signification des rites d'intronisation et de couronnement et les limites de sa divinité ont survécu en Afrique. Cette représentation de la royauté, commune entre l'Egypte et le reste de l'Afrique Noire, est à verser dans les arguments qui militent en faveur d'une origine égyptienne des populations négro-africaines et leur unité culturelle réalisée dans la basse vallée du Nil.