Petits métiers dans les années 1950 et 1960. Souvenirs d'enfance
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- Nombre de pages71
- PrésentationRelié
- Poids0.51 kg
- Dimensions23,0 cm × 24,5 cm × 1,0 cm
- ISBN978-3-8313-2818-5
- EAN9783831328185
- Date de parution09/10/2014
- ÉditeurWartberg
Résumé
Ne vous méprenez pas, ces petits métiers n'ont rien de péjoratif. Au contraire, ils sont porteurs de savoir-faire et de savoir être ! Certes, aujourd'hui, beaucoup ont disparu ou pire encore, certains ont dû s'adapter à un progrès qui ne leur voulait pas toujours du bien. Les vrais artisans d'autrefois étaient tout simplement des travailleurs qui ne se plaignaient pas des heures de travail. Leurs réalisations étaient soignées et toujours plus parfaites, leur travail, c'était leur vie et leur fierté.
Ces multiples petits métiers s'exerçaient généralement dans la rue et étaient bien souvent ceux du geste. Un geste longuement appris à travers un savoir manuel transmis de génération en génération. Bien souvent, ces petits métiers s'inscrivaient dans le cadre du village, voire du quartier. On n'achetait pas un produit anonyme dans un supermarché ! C'était l'époque où l'on faisait encore réparer un parapluie et où d'un roulement de tambour, le garde-champêtre déclamait les bonnes et mauvaises nouvelles du village, c'était l'époque, enfin, où le lait voyageait à dos de mulet.
Aujourd'hui, tous ces petits métiers s'en sont allés, terrassés par un progrès qui se voulait l'avenir de l'homme. A l'époque, on travaillait le bois, le fer, la terre et on ne comptait pas ses heures. La notion de travail manuel avait un sens. Ils étaient maréchal-ferrant, vitrier, matelassier, sabotier, gemmeur, rémouleur, rempailleur, voire tonnelier, et ils étaient heureux !
Ces multiples petits métiers s'exerçaient généralement dans la rue et étaient bien souvent ceux du geste. Un geste longuement appris à travers un savoir manuel transmis de génération en génération. Bien souvent, ces petits métiers s'inscrivaient dans le cadre du village, voire du quartier. On n'achetait pas un produit anonyme dans un supermarché ! C'était l'époque où l'on faisait encore réparer un parapluie et où d'un roulement de tambour, le garde-champêtre déclamait les bonnes et mauvaises nouvelles du village, c'était l'époque, enfin, où le lait voyageait à dos de mulet.
Aujourd'hui, tous ces petits métiers s'en sont allés, terrassés par un progrès qui se voulait l'avenir de l'homme. A l'époque, on travaillait le bois, le fer, la terre et on ne comptait pas ses heures. La notion de travail manuel avait un sens. Ils étaient maréchal-ferrant, vitrier, matelassier, sabotier, gemmeur, rémouleur, rempailleur, voire tonnelier, et ils étaient heureux !
Ne vous méprenez pas, ces petits métiers n'ont rien de péjoratif. Au contraire, ils sont porteurs de savoir-faire et de savoir être ! Certes, aujourd'hui, beaucoup ont disparu ou pire encore, certains ont dû s'adapter à un progrès qui ne leur voulait pas toujours du bien. Les vrais artisans d'autrefois étaient tout simplement des travailleurs qui ne se plaignaient pas des heures de travail. Leurs réalisations étaient soignées et toujours plus parfaites, leur travail, c'était leur vie et leur fierté.
Ces multiples petits métiers s'exerçaient généralement dans la rue et étaient bien souvent ceux du geste. Un geste longuement appris à travers un savoir manuel transmis de génération en génération. Bien souvent, ces petits métiers s'inscrivaient dans le cadre du village, voire du quartier. On n'achetait pas un produit anonyme dans un supermarché ! C'était l'époque où l'on faisait encore réparer un parapluie et où d'un roulement de tambour, le garde-champêtre déclamait les bonnes et mauvaises nouvelles du village, c'était l'époque, enfin, où le lait voyageait à dos de mulet.
Aujourd'hui, tous ces petits métiers s'en sont allés, terrassés par un progrès qui se voulait l'avenir de l'homme. A l'époque, on travaillait le bois, le fer, la terre et on ne comptait pas ses heures. La notion de travail manuel avait un sens. Ils étaient maréchal-ferrant, vitrier, matelassier, sabotier, gemmeur, rémouleur, rempailleur, voire tonnelier, et ils étaient heureux !
Ces multiples petits métiers s'exerçaient généralement dans la rue et étaient bien souvent ceux du geste. Un geste longuement appris à travers un savoir manuel transmis de génération en génération. Bien souvent, ces petits métiers s'inscrivaient dans le cadre du village, voire du quartier. On n'achetait pas un produit anonyme dans un supermarché ! C'était l'époque où l'on faisait encore réparer un parapluie et où d'un roulement de tambour, le garde-champêtre déclamait les bonnes et mauvaises nouvelles du village, c'était l'époque, enfin, où le lait voyageait à dos de mulet.
Aujourd'hui, tous ces petits métiers s'en sont allés, terrassés par un progrès qui se voulait l'avenir de l'homme. A l'époque, on travaillait le bois, le fer, la terre et on ne comptait pas ses heures. La notion de travail manuel avait un sens. Ils étaient maréchal-ferrant, vitrier, matelassier, sabotier, gemmeur, rémouleur, rempailleur, voire tonnelier, et ils étaient heureux !