Perles de vie. Précis de sagesse portative

Par : René de Obaldia

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  • Nombre de pages78
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.112 kg
  • Dimensions12,0 cm × 17,7 cm × 0,8 cm
  • ISBN978-2-246-81273-9
  • EAN9782246812739
  • Date de parution29/03/2017
  • ÉditeurGrasset

Résumé

"Chers lecteurs, Je vais bientôt me quitter. Oui, disparaître de cette planète. Et il m'est venu à l'idée de rassembler moult pensées, citations (la plupart méconnues), engrangées tout au long de mon existence, et de vous les léguer en héritage, dans l'espoir que pour vous aussi, elles seront source de réflexions, méditations, voire matière à rire et à pleurer. Certaines de ces citations m'ont bien sûr frappé plus que d'autres.
Ainsi, de Chesterton : "Les anges volent parce qu'ils se prennent eux-mêmes à la légère" ; de Kafka : "J'ai peu de choses en commun avec moi-même" ; de Nerval : "Je voyage pour vérifier mes songes". Aussi, lors de ma réceptions à l'Académie française où je succédais à Julien Green, j'avais souligné comment celui-ci avait été hanté par le Malin, et m'était revenu à l'esprit le mot merveilleux de Cocteau : "Sans le Diable, Dieu n'aurait jamais atteint le grand public".
Chers lecteurs, chers obaldiens, à vous, selon vos affinités, vos humeurs, de vous approprier une perle rare. Je vais maintenant prendre congé de vous non sans vous gratifier cette fois d'un proverbe bantou : "Mon ami n'est pas mort puisque je vis encore".
"Chers lecteurs, Je vais bientôt me quitter. Oui, disparaître de cette planète. Et il m'est venu à l'idée de rassembler moult pensées, citations (la plupart méconnues), engrangées tout au long de mon existence, et de vous les léguer en héritage, dans l'espoir que pour vous aussi, elles seront source de réflexions, méditations, voire matière à rire et à pleurer. Certaines de ces citations m'ont bien sûr frappé plus que d'autres.
Ainsi, de Chesterton : "Les anges volent parce qu'ils se prennent eux-mêmes à la légère" ; de Kafka : "J'ai peu de choses en commun avec moi-même" ; de Nerval : "Je voyage pour vérifier mes songes". Aussi, lors de ma réceptions à l'Académie française où je succédais à Julien Green, j'avais souligné comment celui-ci avait été hanté par le Malin, et m'était revenu à l'esprit le mot merveilleux de Cocteau : "Sans le Diable, Dieu n'aurait jamais atteint le grand public".
Chers lecteurs, chers obaldiens, à vous, selon vos affinités, vos humeurs, de vous approprier une perle rare. Je vais maintenant prendre congé de vous non sans vous gratifier cette fois d'un proverbe bantou : "Mon ami n'est pas mort puisque je vis encore".
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