Peintres dans la ville. Tirana galerie

Par : Guillaume de Monfreid, Anne-Laure Lafay

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  • Nombre de pages112
  • PrésentationBroché
  • Poids0.265 kg
  • Dimensions15,5 cm × 20,5 cm × 0,6 cm
  • ISBN2-84186-234-8
  • EAN9782841862344
  • Date de parution17/06/2004
  • ÉditeurMichalon

Résumé

C'est un pays de guingois. Là-bas, l'air est pollué, l'ambiance chaotique mais les gens gais, habiles, inventifs. Sortie KO des années communistes, Tirana, capitale du pays des Aigles, est grise, lépreuse. C'est une rencontre hasardeuse. Architecte-urbaniste, Guillaume de Monfreid part restaurer des églises dans un petit coin d'Albanie, avec en tête les émissions de Radio-Tirana, écoutées des années plus tôt, et ces intonations qu'il a gardées dans les oreilles. C'est son cinquième ou sixième voyage là-bas. Mais, cette fois-ci quand il débarque à Tirana, il est saisi : ces couleurs, ce culot. Et il tombe sur Anne-Laure Lafay, elle est photographe. Ils s'associent, poivre et sel et petite brune. Et vient le désir de happer la ville, galerie grandeur nature, natures vivantes, lancées par le nouveau maire de la ville, peintre de métier. Edi Rama, avant d'entamer les chantiers de fond, se met en quête de rhabiller la ville, l'habit faisant le moine. Il a l'idée utopique et courageuse de balayer le passé d'un grand coup de peinture sur le décor. Une table rase esthétique pour sortir de la neurasthénie. Et la ville, toile immense, devint la proie du peintre. Bleu de Prusse, vert amande, magenta, orangé : assemblage bruyant et touffu de chromatismes pétaradants. La lumière revint. C'est cette fresque que raconte le livre de Guillaume de Monfreid et Anne-Laure Lafay : celle d'une métropole émouvante en polychromie.
C'est un pays de guingois. Là-bas, l'air est pollué, l'ambiance chaotique mais les gens gais, habiles, inventifs. Sortie KO des années communistes, Tirana, capitale du pays des Aigles, est grise, lépreuse. C'est une rencontre hasardeuse. Architecte-urbaniste, Guillaume de Monfreid part restaurer des églises dans un petit coin d'Albanie, avec en tête les émissions de Radio-Tirana, écoutées des années plus tôt, et ces intonations qu'il a gardées dans les oreilles. C'est son cinquième ou sixième voyage là-bas. Mais, cette fois-ci quand il débarque à Tirana, il est saisi : ces couleurs, ce culot. Et il tombe sur Anne-Laure Lafay, elle est photographe. Ils s'associent, poivre et sel et petite brune. Et vient le désir de happer la ville, galerie grandeur nature, natures vivantes, lancées par le nouveau maire de la ville, peintre de métier. Edi Rama, avant d'entamer les chantiers de fond, se met en quête de rhabiller la ville, l'habit faisant le moine. Il a l'idée utopique et courageuse de balayer le passé d'un grand coup de peinture sur le décor. Une table rase esthétique pour sortir de la neurasthénie. Et la ville, toile immense, devint la proie du peintre. Bleu de Prusse, vert amande, magenta, orangé : assemblage bruyant et touffu de chromatismes pétaradants. La lumière revint. C'est cette fresque que raconte le livre de Guillaume de Monfreid et Anne-Laure Lafay : celle d'une métropole émouvante en polychromie.