Paul Follot. Un puriste en Art-Déco (1877-1941)
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- Nombre de pages220
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.935 kg
- Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-8231-1725-7
- EAN9782823117257
- Date de parution17/10/2016
- CollectionLes archives du temps
- ÉditeurPersée (Editions)
Résumé
Au coeur des premiers feux du Style Art Déco : Paul Follot Dès les années 1910, à l'instar de Clément Mère Maurice Dufrène, Rousseau et d'autres sortis de l'Ecole d'Eugène Grasset, sous l'égide du mécène et artiste Julius Maier-Graeffe, il se distingue aux Salons des Artistes Décorateurs ou SAD ou même chez Christofle. Son style se caractérisera très vite par l'excellence des formes, empruntée aux styles aristocratiques, Louis XVI, Directoire, Empire ; les matériaux utilisés sont des bois de placage exotiques tels que l'ébène, le palissandre, pour la plupart.
La laque brune et les ors à la feuille comme l'ivoire donnent son caractère précieux à sa production. Son hôtel particulier dans le VIe à Paris est le rendez-vous fixé pour ses expositions ; les voici donc présents les banquiers et hommes d'affaire comme Ch. Stern ou les Maharahdjas et Princes d'Orient. Ses meubles, fabriqués en série, sont quant à eux exposés au Bon Marché ; d'autres à la Maison Waring and Gillot.
La consécration se fait à L'Exposition Universelle de 1925, dans le Pavillon Pomone du Bon Marché. Puis le Cubisme étant au goût du jour dans les années 1935, Follot l'adopte mais la Guerre arrive vite ; la maladie atteint Follot, réfugié à Sainte-Maxime, où il meurt presque oublié de tous.
La laque brune et les ors à la feuille comme l'ivoire donnent son caractère précieux à sa production. Son hôtel particulier dans le VIe à Paris est le rendez-vous fixé pour ses expositions ; les voici donc présents les banquiers et hommes d'affaire comme Ch. Stern ou les Maharahdjas et Princes d'Orient. Ses meubles, fabriqués en série, sont quant à eux exposés au Bon Marché ; d'autres à la Maison Waring and Gillot.
La consécration se fait à L'Exposition Universelle de 1925, dans le Pavillon Pomone du Bon Marché. Puis le Cubisme étant au goût du jour dans les années 1935, Follot l'adopte mais la Guerre arrive vite ; la maladie atteint Follot, réfugié à Sainte-Maxime, où il meurt presque oublié de tous.
Au coeur des premiers feux du Style Art Déco : Paul Follot Dès les années 1910, à l'instar de Clément Mère Maurice Dufrène, Rousseau et d'autres sortis de l'Ecole d'Eugène Grasset, sous l'égide du mécène et artiste Julius Maier-Graeffe, il se distingue aux Salons des Artistes Décorateurs ou SAD ou même chez Christofle. Son style se caractérisera très vite par l'excellence des formes, empruntée aux styles aristocratiques, Louis XVI, Directoire, Empire ; les matériaux utilisés sont des bois de placage exotiques tels que l'ébène, le palissandre, pour la plupart.
La laque brune et les ors à la feuille comme l'ivoire donnent son caractère précieux à sa production. Son hôtel particulier dans le VIe à Paris est le rendez-vous fixé pour ses expositions ; les voici donc présents les banquiers et hommes d'affaire comme Ch. Stern ou les Maharahdjas et Princes d'Orient. Ses meubles, fabriqués en série, sont quant à eux exposés au Bon Marché ; d'autres à la Maison Waring and Gillot.
La consécration se fait à L'Exposition Universelle de 1925, dans le Pavillon Pomone du Bon Marché. Puis le Cubisme étant au goût du jour dans les années 1935, Follot l'adopte mais la Guerre arrive vite ; la maladie atteint Follot, réfugié à Sainte-Maxime, où il meurt presque oublié de tous.
La laque brune et les ors à la feuille comme l'ivoire donnent son caractère précieux à sa production. Son hôtel particulier dans le VIe à Paris est le rendez-vous fixé pour ses expositions ; les voici donc présents les banquiers et hommes d'affaire comme Ch. Stern ou les Maharahdjas et Princes d'Orient. Ses meubles, fabriqués en série, sont quant à eux exposés au Bon Marché ; d'autres à la Maison Waring and Gillot.
La consécration se fait à L'Exposition Universelle de 1925, dans le Pavillon Pomone du Bon Marché. Puis le Cubisme étant au goût du jour dans les années 1935, Follot l'adopte mais la Guerre arrive vite ; la maladie atteint Follot, réfugié à Sainte-Maxime, où il meurt presque oublié de tous.