Pas de pitié pour les innocents. Les terribles conséquences d'une erreur judiciaire
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- Nombre de pages254
- PrésentationBroché
- Poids0.4 kg
- Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 2,2 cm
- ISBN2-7499-0372-6
- EAN9782749903729
- Date de parution06/10/2005
- ÉditeurMichel Lafon
Résumé
André Kaas, promoteur immobilier flamboyant, vit avec sa femme Sylviane et ses enfants dans une superbe demeure. Le couple s'aime depuis près d'un quart de siècle, d'un amour fou mais hors norme. Ça dérange. En plus, André Kaas est juif. Cela n'arrange rien. Le 5 avril 1992, alors que le père et les enfants sont au cinéma, Sylviane Kaas est sauvagement assassinée. Très vite, on tient une piste, mais on l'abandonne... Et dix-huit mois plus tard, André Kaas est jeté en prison pour avoir commandité le meurtre de son épouse. Sur une simple dénonciation, des plus suspectes ! Résultat ? Trois ans de prison, neuf ans sous contrôle judiciaire, les affaires devenues impossibles, la ruine et, surtout, cinq enfants en détresse dont personne, dans les organismes dits " sociaux ", ne s'est préoccupé pendant l'incarcération du chef de famille. Le non-lieu général prononcé le 26 mars 2004 ne suffit pas à André Kaas : il demande réparation, et veut que l'on juge enfin l'assassin de sa femme. Douze ans d'infamie pour lui et treize ans d'impunité pour le vrai criminel, c'est trop.
André Kaas, promoteur immobilier flamboyant, vit avec sa femme Sylviane et ses enfants dans une superbe demeure. Le couple s'aime depuis près d'un quart de siècle, d'un amour fou mais hors norme. Ça dérange. En plus, André Kaas est juif. Cela n'arrange rien. Le 5 avril 1992, alors que le père et les enfants sont au cinéma, Sylviane Kaas est sauvagement assassinée. Très vite, on tient une piste, mais on l'abandonne... Et dix-huit mois plus tard, André Kaas est jeté en prison pour avoir commandité le meurtre de son épouse. Sur une simple dénonciation, des plus suspectes ! Résultat ? Trois ans de prison, neuf ans sous contrôle judiciaire, les affaires devenues impossibles, la ruine et, surtout, cinq enfants en détresse dont personne, dans les organismes dits " sociaux ", ne s'est préoccupé pendant l'incarcération du chef de famille. Le non-lieu général prononcé le 26 mars 2004 ne suffit pas à André Kaas : il demande réparation, et veut que l'on juge enfin l'assassin de sa femme. Douze ans d'infamie pour lui et treize ans d'impunité pour le vrai criminel, c'est trop.