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Parzival. [livres I à VI, IX et XIV à XVI]
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- Nombre de pages382
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.21 kg
- Dimensions10,7 cm × 17,7 cm × 2,7 cm
- ISBN2-264-01338-9
- EAN9782264013385
- Date de parution01/08/1989
- Collectionbibliothèque médiévale
- Éditeur10/18
Résumé
Avec le Parzival de Wolfram von Eschenbach (début du XIIIe siècle) est présentée au public français l'oeuvre la plus importante de la littérature arthurienne médiévale allemande. Le Parzival est un témoin des relations culturelles particulièrement étroites entre la France et l'Allemagne au Moyen Age, puisque l'auteur allemand reprend une oeuvre capitale de Chrétien de Troyes, Perceval ou le Conte du Graal. Ce qui caractérise essentiellement le Parzival est que Wolfram crée à destination de la noblesse de son époque un modèle idéal - utopique - de société, l'idéal d'une société aristocratique et chevaleresque universelle, englobant l'Orient et l'Occident, qui est directement au service de Dieu, sans l'intermédiaire de l'Eglise, et qui, gardienne de l'ordre, de la justice et de la paix, doit agir pour le bien de tous les hommes, et qu'en même temps le poète allemand propage l'idée de tolérance religieuse entre chrétiens et musulmans dès le Moyen Age.
Avec le Parzival de Wolfram von Eschenbach (début du XIIIe siècle) est présentée au public français l'oeuvre la plus importante de la littérature arthurienne médiévale allemande. Le Parzival est un témoin des relations culturelles particulièrement étroites entre la France et l'Allemagne au Moyen Age, puisque l'auteur allemand reprend une oeuvre capitale de Chrétien de Troyes, Perceval ou le Conte du Graal. Ce qui caractérise essentiellement le Parzival est que Wolfram crée à destination de la noblesse de son époque un modèle idéal - utopique - de société, l'idéal d'une société aristocratique et chevaleresque universelle, englobant l'Orient et l'Occident, qui est directement au service de Dieu, sans l'intermédiaire de l'Eglise, et qui, gardienne de l'ordre, de la justice et de la paix, doit agir pour le bien de tous les hommes, et qu'en même temps le poète allemand propage l'idée de tolérance religieuse entre chrétiens et musulmans dès le Moyen Age.
