Parlons bunun. Une langue aborigène de Taiwan

Par : Rémy Gils

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  • Nombre de pages250
  • PrésentationBroché
  • Poids0.355 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,4 cm
  • ISBN978-2-296-08087-4
  • EAN9782296080874
  • Date de parution04/05/2009
  • CollectionParlons...
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Le gouvernement de la République de Chine à Taiwan reconnaît officiellement quatorze groupes ethniques aborigènes distincts, soit 2% de la population totale insulaire en majorité chinoise han. Parmi ces peuplades de souche austronésienne, celle des Bunun constitue l'une des plus importantes par le nombre. Ses membres peuplent principalement le centre montagneux de l'île. L'héritage culturel qu'ils se sont transmis est d'une grande richesse et leurs chants polyphoniques uniques au monde ont désormais acquis une réputation internationale.
Bien que dépouillés de leurs terres ancestrales et ayant perdu une grande partie de leurs caractéristiques au contact des populations chinoises et de l'occupant japonais, les Bunun n'en ont pas pour autant oublié leur identité aborigène. Ils continuent aujourd'hui de lutter pour que leur culture, leur langue et leurs traditions ne soient entièrement phagocytées par la culture chinoise majoritaire.
Le gouvernement de la République de Chine à Taiwan reconnaît officiellement quatorze groupes ethniques aborigènes distincts, soit 2% de la population totale insulaire en majorité chinoise han. Parmi ces peuplades de souche austronésienne, celle des Bunun constitue l'une des plus importantes par le nombre. Ses membres peuplent principalement le centre montagneux de l'île. L'héritage culturel qu'ils se sont transmis est d'une grande richesse et leurs chants polyphoniques uniques au monde ont désormais acquis une réputation internationale.
Bien que dépouillés de leurs terres ancestrales et ayant perdu une grande partie de leurs caractéristiques au contact des populations chinoises et de l'occupant japonais, les Bunun n'en ont pas pour autant oublié leur identité aborigène. Ils continuent aujourd'hui de lutter pour que leur culture, leur langue et leurs traditions ne soient entièrement phagocytées par la culture chinoise majoritaire.