Paris années 50

Par : Stanley Karnow

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  • Nombre de pages410
  • PrésentationBroché
  • Poids0.505 kg
  • Dimensions13,9 cm × 20,5 cm × 3,0 cm
  • ISBN2-912969-07-7
  • EAN9782912969071
  • Date de parution12/05/1999
  • ÉditeurExils

Résumé

En juillet 1947, un jeune Américain, tout juste sorti de l'Université, se rend en France pour y passer l'été. Il y restera dix ans, tour à tour étudiant et correspondant du magazine Time. Tout au long de ces années 50, Stanley Karnow - " le plus parisien des Américains " - ne cessera de voyager, de rencontrer célébrités et inconnus, d'arpenter cafés et caveaux, de fréquenter intellectuels et gens du monde. Dior, Curnonski, Mendès France, Hemingway, Welles et surtout Nathalie Sarraute... Ces visages et ces voix traversent le livre, tout à la fois histoire des mentalités et ode amoureuse à une ville aujourd'hui disparue. " On peut dire, écrit Jean Daniel dans sa préface, que le regard posé par les écrivains des Etats-Unis, regard plus indulgent que celui des Britanniques, exhume et résume une sorte de quintessence de l'imagerie parisienne qui ressemble à une nostalgie inventée... Jamais Stanley Karnow, reporter devenu écrivain politique, n'avait fait preuve d'autant de verve et de truculence dans l'évocation, dans le portrait et dans le récit. Certains instantanés sont saisissants comme des photographies de Doisneau. "
En juillet 1947, un jeune Américain, tout juste sorti de l'Université, se rend en France pour y passer l'été. Il y restera dix ans, tour à tour étudiant et correspondant du magazine Time. Tout au long de ces années 50, Stanley Karnow - " le plus parisien des Américains " - ne cessera de voyager, de rencontrer célébrités et inconnus, d'arpenter cafés et caveaux, de fréquenter intellectuels et gens du monde. Dior, Curnonski, Mendès France, Hemingway, Welles et surtout Nathalie Sarraute... Ces visages et ces voix traversent le livre, tout à la fois histoire des mentalités et ode amoureuse à une ville aujourd'hui disparue. " On peut dire, écrit Jean Daniel dans sa préface, que le regard posé par les écrivains des Etats-Unis, regard plus indulgent que celui des Britanniques, exhume et résume une sorte de quintessence de l'imagerie parisienne qui ressemble à une nostalgie inventée... Jamais Stanley Karnow, reporter devenu écrivain politique, n'avait fait preuve d'autant de verve et de truculence dans l'évocation, dans le portrait et dans le récit. Certains instantanés sont saisissants comme des photographies de Doisneau. "