Parcours enchantés
Par : ,Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages100
- PrésentationRelié
- FormatBeau Livre
- Poids1.924 kg
- Dimensions43,2 cm × 27,7 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-36595-021-3
- EAN9782365950213
- Date de parution05/12/2013
- ÉditeurVerlhac
Résumé
Bournelle, Cély, Champ de Bataille, Étretat, Feucherolle, Granville, Raray, Reims, Rochefort... Parcours enchantés rassemble le travail du vétéran photographe de golfs Claude Rodriguez. Avec ses photos en grand format, ses panoramiques seuls capables de capter le spectacle particulier des parcours de golf, Claude Rodriguez fait appel à l’envie éternelle des golfeurs de s’évader. Depuis près de 20 ans, il photographie les golfs de France comme d’ailleurs.
Claude Rodriguez est un contemplatif, il optimise la beauté d’un paysage en travaillant dès l’aube, à l’heure où le soleil dort encore un peu, où la rosée se mélange à la brume et où les parcours sont encore vierges de toute trace. Juché sur une échelle accrochée à une voiturette, il domine son sujet, capable d’attendre là-haut en équilibre instable de longues minutes le coup de vent qui chassera les nuages et renforcera les couleurs d’un arbre, ou les brillances d’une pièce d’eau.
La beauté commence par les yeux de celui qui regarde. Qui se laisse prendre dans un jeu de lumière et de couleurs qui sollicite une émotion. Cette sollicitation n’est pas fortuite, elle rend visible la beauté qui au premier abord n’était qu’une impression volatile. Rien n’est plus volatil que la lumière faisant surgir l’éclat éphémère des couleurs et les formes, jusqu’à l’instant magique où le vent prend naissance.
Claude Rodriguez est un contemplatif, il optimise la beauté d’un paysage en travaillant dès l’aube, à l’heure où le soleil dort encore un peu, où la rosée se mélange à la brume et où les parcours sont encore vierges de toute trace. Juché sur une échelle accrochée à une voiturette, il domine son sujet, capable d’attendre là-haut en équilibre instable de longues minutes le coup de vent qui chassera les nuages et renforcera les couleurs d’un arbre, ou les brillances d’une pièce d’eau.
La beauté commence par les yeux de celui qui regarde. Qui se laisse prendre dans un jeu de lumière et de couleurs qui sollicite une émotion. Cette sollicitation n’est pas fortuite, elle rend visible la beauté qui au premier abord n’était qu’une impression volatile. Rien n’est plus volatil que la lumière faisant surgir l’éclat éphémère des couleurs et les formes, jusqu’à l’instant magique où le vent prend naissance.
Bournelle, Cély, Champ de Bataille, Étretat, Feucherolle, Granville, Raray, Reims, Rochefort... Parcours enchantés rassemble le travail du vétéran photographe de golfs Claude Rodriguez. Avec ses photos en grand format, ses panoramiques seuls capables de capter le spectacle particulier des parcours de golf, Claude Rodriguez fait appel à l’envie éternelle des golfeurs de s’évader. Depuis près de 20 ans, il photographie les golfs de France comme d’ailleurs.
Claude Rodriguez est un contemplatif, il optimise la beauté d’un paysage en travaillant dès l’aube, à l’heure où le soleil dort encore un peu, où la rosée se mélange à la brume et où les parcours sont encore vierges de toute trace. Juché sur une échelle accrochée à une voiturette, il domine son sujet, capable d’attendre là-haut en équilibre instable de longues minutes le coup de vent qui chassera les nuages et renforcera les couleurs d’un arbre, ou les brillances d’une pièce d’eau.
La beauté commence par les yeux de celui qui regarde. Qui se laisse prendre dans un jeu de lumière et de couleurs qui sollicite une émotion. Cette sollicitation n’est pas fortuite, elle rend visible la beauté qui au premier abord n’était qu’une impression volatile. Rien n’est plus volatil que la lumière faisant surgir l’éclat éphémère des couleurs et les formes, jusqu’à l’instant magique où le vent prend naissance.
Claude Rodriguez est un contemplatif, il optimise la beauté d’un paysage en travaillant dès l’aube, à l’heure où le soleil dort encore un peu, où la rosée se mélange à la brume et où les parcours sont encore vierges de toute trace. Juché sur une échelle accrochée à une voiturette, il domine son sujet, capable d’attendre là-haut en équilibre instable de longues minutes le coup de vent qui chassera les nuages et renforcera les couleurs d’un arbre, ou les brillances d’une pièce d’eau.
La beauté commence par les yeux de celui qui regarde. Qui se laisse prendre dans un jeu de lumière et de couleurs qui sollicite une émotion. Cette sollicitation n’est pas fortuite, elle rend visible la beauté qui au premier abord n’était qu’une impression volatile. Rien n’est plus volatil que la lumière faisant surgir l’éclat éphémère des couleurs et les formes, jusqu’à l’instant magique où le vent prend naissance.