Ozu ou l'anti-cinéma

Par : Kiju Yoshida

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  • Nombre de pages276
  • PrésentationBroché
  • Poids0.325 kg
  • Dimensions13,0 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN2-7427-4591-2
  • EAN9782742745913
  • Date de parution08/04/2004
  • ÉditeurActes Sud
  • TraducteurJean Campignon
  • TraducteurJean Viala

Résumé

Ozu par Yoshida ou l'histoire d'une filiation. Dans cet ouvrage, le cinéaste Kiju Yoshida évoque la figure de Yasujirô Ozu, l'un des plus grands auteurs du cinéma japonais avec Akira Kurosawa, Kenji Mizoguchi et Mikio Naruse. Avec des chefs-d'oeuvre comme Printemps tardif (1949), Le Voyage à Tokyo (1953), Le Goût du saké (1962), Ozu est le metteur en scène de l'intime et de la famille, des changements de saisons et des infimes bouleversements de l'existence.
Il est considéré comme un maître par nombre de réalisateurs contemporains (Hou Hsiao-hsien, Aki Kaurismäki ou Wim Wenders qui lui a consacré un film, Tokyo-Ga). Dans ce livre essentiel, Kiju Yoshida revient sur le parcours, le style et l'esprit d'Ozu dont il fut l'assistant. Issu comme lui des studios Shôchiku, il exalte la singularité et la poésie de l'oeuvre d'Ozu, ses débuts dans le cinéma muet, sa technique (la légendaire caméra "au ras du sol") et sa façon de faire de "l'anti-cinéma" : "En éprouvant le besoin d'entreprendre cet essai tout en étant bien conscient de la vanité de l'entreprise, écrit Yoshida, je parle du cinéma d'Ozu comme si je poursuivais un mirage dans un pré au printemps".
Ozu par Yoshida ou l'histoire d'une filiation. Dans cet ouvrage, le cinéaste Kiju Yoshida évoque la figure de Yasujirô Ozu, l'un des plus grands auteurs du cinéma japonais avec Akira Kurosawa, Kenji Mizoguchi et Mikio Naruse. Avec des chefs-d'oeuvre comme Printemps tardif (1949), Le Voyage à Tokyo (1953), Le Goût du saké (1962), Ozu est le metteur en scène de l'intime et de la famille, des changements de saisons et des infimes bouleversements de l'existence.
Il est considéré comme un maître par nombre de réalisateurs contemporains (Hou Hsiao-hsien, Aki Kaurismäki ou Wim Wenders qui lui a consacré un film, Tokyo-Ga). Dans ce livre essentiel, Kiju Yoshida revient sur le parcours, le style et l'esprit d'Ozu dont il fut l'assistant. Issu comme lui des studios Shôchiku, il exalte la singularité et la poésie de l'oeuvre d'Ozu, ses débuts dans le cinéma muet, sa technique (la légendaire caméra "au ras du sol") et sa façon de faire de "l'anti-cinéma" : "En éprouvant le besoin d'entreprendre cet essai tout en étant bien conscient de la vanité de l'entreprise, écrit Yoshida, je parle du cinéma d'Ozu comme si je poursuivais un mirage dans un pré au printemps".
Trafic N° 67 Automne 2008
Michel Chion, Kiju Yoshida, Mathieu Capel, Shiguéhiko Hasumi
E-book
10,99 €
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