Oui, J'Aime L'Eglise . La Passion Du Bienheureux Francisco Palau
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- Nombre de pages104
- PrésentationBroché
- Poids0.15 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,9 cm × 0,9 cm
- ISBN2-86839-603-8
- EAN9782868396037
- Date de parution01/07/2000
- ÉditeurGuibert (François-Xavier de)
Résumé
" Le bienheureux Francisco Palau fut l'un des Carmes les plus créatifs du XIXe siècle, en Espagne. Et pourtant, il vécut à peine trois ans dans un couvent de son Ordre. Mais, tout le reste de sa vie, malgré bien des persécutions et des traverses, jamais il ne renonça aux idéaux du Carmel thérésien. De ses trente-six ans de sacerdoce, il passa la moitié en exil, résidence surveillée ou prison ; durant dix ans, il dut même se réfugier en France.
Bien que l'Etat espagnol eût supprimé tous les Ordres religieux, il se considéra toujours carme déchaux, n'hésitant pas à en arborer l'habit. Sa vie, de constante frustration en apparence, se révéla fertile et d'un grand rayonnement : deux congrégations de religieuses rattachées au Carmel lui doivent leur existence. "Qui saura mourir en tout trouvera la vie en tout", disait saint Jean de la Croix.
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Bien que l'Etat espagnol eût supprimé tous les Ordres religieux, il se considéra toujours carme déchaux, n'hésitant pas à en arborer l'habit. Sa vie, de constante frustration en apparence, se révéla fertile et d'un grand rayonnement : deux congrégations de religieuses rattachées au Carmel lui doivent leur existence. "Qui saura mourir en tout trouvera la vie en tout", disait saint Jean de la Croix.
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" Le bienheureux Francisco Palau fut l'un des Carmes les plus créatifs du XIXe siècle, en Espagne. Et pourtant, il vécut à peine trois ans dans un couvent de son Ordre. Mais, tout le reste de sa vie, malgré bien des persécutions et des traverses, jamais il ne renonça aux idéaux du Carmel thérésien. De ses trente-six ans de sacerdoce, il passa la moitié en exil, résidence surveillée ou prison ; durant dix ans, il dut même se réfugier en France.
Bien que l'Etat espagnol eût supprimé tous les Ordres religieux, il se considéra toujours carme déchaux, n'hésitant pas à en arborer l'habit. Sa vie, de constante frustration en apparence, se révéla fertile et d'un grand rayonnement : deux congrégations de religieuses rattachées au Carmel lui doivent leur existence. "Qui saura mourir en tout trouvera la vie en tout", disait saint Jean de la Croix.
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Bien que l'Etat espagnol eût supprimé tous les Ordres religieux, il se considéra toujours carme déchaux, n'hésitant pas à en arborer l'habit. Sa vie, de constante frustration en apparence, se révéla fertile et d'un grand rayonnement : deux congrégations de religieuses rattachées au Carmel lui doivent leur existence. "Qui saura mourir en tout trouvera la vie en tout", disait saint Jean de la Croix.
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