Jérôme Cotte s'intéresse à ce que les grands philosophes ont dit ou écrit sur l'humour ; il fait ensuite des liens avec ce que font ou disent les humoristes modernes du Québec ou d'ailleurs. Ainsi il reconnaît, dans l'enfilade des humoristes qui carburent au même type de blagues éculées, les hommes obtus de la caverne de Platon ; le cynisme de Diogène lui rappelle celui d'Anne Archet ; la spiritualité de Kierkegaard le ramène à la modestie de Marc Favreau.
Il voit dans les câlins carnavalesques et gratuits de la mascotte Anarchopanda - au printemps 2012 - et dans les spectacles de Virginie Fortin des illustrations de cet humour éthique qu'il souhaite voir advenir. L'auteur reste toutefois conscient de la difficulté, voire de l'utopie, de l'entreprise : il faut à la fois de l'humilité et de l'audace pour tourner en dérision les pouvoirs en place (y compris ceux de l'industrie de l'humour) et pour faire du monde un milieu égalitaire et inclusif.
Jérôme Cotte s'intéresse à ce que les grands philosophes ont dit ou écrit sur l'humour ; il fait ensuite des liens avec ce que font ou disent les humoristes modernes du Québec ou d'ailleurs. Ainsi il reconnaît, dans l'enfilade des humoristes qui carburent au même type de blagues éculées, les hommes obtus de la caverne de Platon ; le cynisme de Diogène lui rappelle celui d'Anne Archet ; la spiritualité de Kierkegaard le ramène à la modestie de Marc Favreau.
Il voit dans les câlins carnavalesques et gratuits de la mascotte Anarchopanda - au printemps 2012 - et dans les spectacles de Virginie Fortin des illustrations de cet humour éthique qu'il souhaite voir advenir. L'auteur reste toutefois conscient de la difficulté, voire de l'utopie, de l'entreprise : il faut à la fois de l'humilité et de l'audace pour tourner en dérision les pouvoirs en place (y compris ceux de l'industrie de l'humour) et pour faire du monde un milieu égalitaire et inclusif.