O tangani. Cœur africain, peau blanche
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- Nombre de pages122
- PrésentationBroché
- Poids0.1701 kg
- Dimensions13,4 cm × 20,4 cm × 0,7 cm
- ISBN978-2-414-30545-2
- EAN9782414305452
- Date de parution14/12/2018
- ÉditeurEdilivre
Résumé
"J'ai eu la chance d'effectuer mon service national au Gabon. J'étais en pleine brousse, loin de tout, enseignant dans un petit collège. Mes élèves venaient souvent en classe pieds nus... J'ai choisi de vivre au milieu d'eux, de les accompagner dans leurs villages, de manger comme eux... Je crois avoir plus reçu que donné... Et puis, vingt ans après mon retour, ils m'ont retrouvé et j'ai découvert, avec surprise, mais aussi avec un grand bonheur, qu'ils avaient réussi humainement et professionnellement...
Un ministre, deux ambassadeurs, deux médecins, un pilote de ligne, la directrice du port, des ingénieurs... Je suis reparti au Gabon, chez moi... Ils m'ont dit que j'étais celui qui leur avait donné confiance, qui les avait persuadés qu'ils allaient réussir".
Un ministre, deux ambassadeurs, deux médecins, un pilote de ligne, la directrice du port, des ingénieurs... Je suis reparti au Gabon, chez moi... Ils m'ont dit que j'étais celui qui leur avait donné confiance, qui les avait persuadés qu'ils allaient réussir".
"J'ai eu la chance d'effectuer mon service national au Gabon. J'étais en pleine brousse, loin de tout, enseignant dans un petit collège. Mes élèves venaient souvent en classe pieds nus... J'ai choisi de vivre au milieu d'eux, de les accompagner dans leurs villages, de manger comme eux... Je crois avoir plus reçu que donné... Et puis, vingt ans après mon retour, ils m'ont retrouvé et j'ai découvert, avec surprise, mais aussi avec un grand bonheur, qu'ils avaient réussi humainement et professionnellement...
Un ministre, deux ambassadeurs, deux médecins, un pilote de ligne, la directrice du port, des ingénieurs... Je suis reparti au Gabon, chez moi... Ils m'ont dit que j'étais celui qui leur avait donné confiance, qui les avait persuadés qu'ils allaient réussir".
Un ministre, deux ambassadeurs, deux médecins, un pilote de ligne, la directrice du port, des ingénieurs... Je suis reparti au Gabon, chez moi... Ils m'ont dit que j'étais celui qui leur avait donné confiance, qui les avait persuadés qu'ils allaient réussir".
