Nos terres d'enfance. L'Arménie des souvenirs
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- Nombre de pages350
- PrésentationBroché
- Poids0.59 kg
- Dimensions16,5 cm × 23,0 cm × 2,8 cm
- ISBN978-2-86364-180-4
- EAN9782863641804
- Date de parution01/09/2010
- CollectionDiasporales
- ÉditeurParenthèses Editions
Résumé
Le parcours des " terres d'enfance " proposé dans ce livre, de la banlieue new-yorkaise à Téhéran, de Bagdad à Bakou, de Erevan à Istanbul, de Beyrouth à Trébizonde, de Paris à Mouch, gomme volontairement l'espace et le temps. Tous les acteurs de ces voyages involontaires, sous une forme ou une autre, ont écrit sur les paysages ruraux ou urbains de leur enfance, retrouvant dans des quotidiens contrastés la marque de leur appartenance multiple : une identité revisitée dont chaque signe est vécu dans le regard de l'autre. Les textes rassemblés dans cette anthologie sont pour la plupart autobiographiques : ce sont des autofictions ou des témoignages, des documents " qui recréent la vie " et réinventent une continuité dans les bribes et les itinéraires. Quel que soit le genre, il s'agit toujours d'un regard sur une enfance réinterprétée, entre souvenirs et rémanences. Si, comme en Occident, l'écolier a été une figure montante de la littérature, les violences et les ruptures qui ont marqué l'histoire des Arméniens au XXe siècle ont assigné à l'enfant une fonction charnière dans la transmission d'une langue et d'une histoire.
Le parcours des " terres d'enfance " proposé dans ce livre, de la banlieue new-yorkaise à Téhéran, de Bagdad à Bakou, de Erevan à Istanbul, de Beyrouth à Trébizonde, de Paris à Mouch, gomme volontairement l'espace et le temps. Tous les acteurs de ces voyages involontaires, sous une forme ou une autre, ont écrit sur les paysages ruraux ou urbains de leur enfance, retrouvant dans des quotidiens contrastés la marque de leur appartenance multiple : une identité revisitée dont chaque signe est vécu dans le regard de l'autre. Les textes rassemblés dans cette anthologie sont pour la plupart autobiographiques : ce sont des autofictions ou des témoignages, des documents " qui recréent la vie " et réinventent une continuité dans les bribes et les itinéraires. Quel que soit le genre, il s'agit toujours d'un regard sur une enfance réinterprétée, entre souvenirs et rémanences. Si, comme en Occident, l'écolier a été une figure montante de la littérature, les violences et les ruptures qui ont marqué l'histoire des Arméniens au XXe siècle ont assigné à l'enfant une fonction charnière dans la transmission d'une langue et d'une histoire.