Nos jeux et jouets dans les années 1950 et 1960. Souvenirs d'enfance

Par : Claudine Demanie

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  • Nombre de pages71
  • PrésentationRelié
  • Poids0.515 kg
  • Dimensions23,0 cm × 24,5 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-3-8313-2819-2
  • EAN9783831328192
  • Date de parution09/10/2014
  • ÉditeurWartberg

Résumé

Décembre 1950. Quelques jours avant Noël, le Salon de l’enfance ouvre ses portes au Grand Palais. Sorte de caverne d’Ali Baba remplie de jeux, de jouets et d’animaux vivants, il propose aux enfants émerveillés et aux parents, toutes les nouveautés apparues sur le marché. En effet, en réponse à la demande massive générée par l’éclosion du baby boom, portés par la frénésie de consommation qui vient de s’emparer des familles françaises, les fabricants de jouets rivalisent d’imagination et diversifient de plus en plus leur offre.
Si les peluches remportent toujours les suffrages des plus petits, leur look en revanche change peu à peu. Sur les lits des chères têtes blondes, des animaux et des personnages aux allures bizarres côtoient désormais les traditionnels nounours : Pollux, chien rigolo, star du «Manège enchanté», Nicolas et Pimprenelle, poupées vedettes de «Bonne Nuit les Petits», Saturnin le canard… Les coffres à jouets débordent de nouveautés, le plastique se substitue au bois et les premiers jouets Fisher Price débarquent des Etats Unis.
Les marques françaises sont au coude à coude avec leurs rivales allemandes, anglaises ou américaines, et on assiste à de véritables matchs dont les enfants sont les arbitres : Jouef contre Märklin pour les trains électriques, Dinky Toys contre Majorette pour les petites voitures, Mattel contre Bella au royaume des poupées. En 1959, une nouvelle venue évince toutes ses rivales : Barbie, la poupée mannequin.
Plus femme que bébé, dotée d’une garde-robe de star et accompagnée de Ken, son boyfriendaux allures de prince charmant, Barbie séduit toutesles fillettes. Des fillettes qui ont hâte de devenir grandes, comme leurs frères qui se voient déjà pompiers, docteurs ou chefs de gare. Car les jouets des enfants portent toujours une magie en eux : celle du métier qu’ils rêvent d’exercer plus tard.
Décembre 1950. Quelques jours avant Noël, le Salon de l’enfance ouvre ses portes au Grand Palais. Sorte de caverne d’Ali Baba remplie de jeux, de jouets et d’animaux vivants, il propose aux enfants émerveillés et aux parents, toutes les nouveautés apparues sur le marché. En effet, en réponse à la demande massive générée par l’éclosion du baby boom, portés par la frénésie de consommation qui vient de s’emparer des familles françaises, les fabricants de jouets rivalisent d’imagination et diversifient de plus en plus leur offre.
Si les peluches remportent toujours les suffrages des plus petits, leur look en revanche change peu à peu. Sur les lits des chères têtes blondes, des animaux et des personnages aux allures bizarres côtoient désormais les traditionnels nounours : Pollux, chien rigolo, star du «Manège enchanté», Nicolas et Pimprenelle, poupées vedettes de «Bonne Nuit les Petits», Saturnin le canard… Les coffres à jouets débordent de nouveautés, le plastique se substitue au bois et les premiers jouets Fisher Price débarquent des Etats Unis.
Les marques françaises sont au coude à coude avec leurs rivales allemandes, anglaises ou américaines, et on assiste à de véritables matchs dont les enfants sont les arbitres : Jouef contre Märklin pour les trains électriques, Dinky Toys contre Majorette pour les petites voitures, Mattel contre Bella au royaume des poupées. En 1959, une nouvelle venue évince toutes ses rivales : Barbie, la poupée mannequin.
Plus femme que bébé, dotée d’une garde-robe de star et accompagnée de Ken, son boyfriendaux allures de prince charmant, Barbie séduit toutesles fillettes. Des fillettes qui ont hâte de devenir grandes, comme leurs frères qui se voient déjà pompiers, docteurs ou chefs de gare. Car les jouets des enfants portent toujours une magie en eux : celle du métier qu’ils rêvent d’exercer plus tard.