Norbert Schwontkowski: Blind Faith

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  • Nombre de pages120
  • PrésentationCartonné
  • Poids1.002 kg
  • Dimensions24,0 cm × 32,5 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-3-86442-039-9
  • EAN9783864420399
  • Date de parution01/01/2013
  • ÉditeurSnoeck - Cologne

Résumé

Au vu de l'oeuvre peinte de Norbert Schwontkowski, né en 1949 à Brême, une question fondamentale se pose, à savoir quelle forme de peinture est-elle encore seulement possible après la révolution technologique et les pertes qui y sont associées, des perceptions propres du monde comme de sa propre identité physique ? Florian Waldvogel, directeur du Kunstverein de Hambourg, interroge cette relation dans "L'Enfer au ralenti", sa contribution en tant qu'éditeur de ce volume qui donne enfin de nouveau accès sous forme de livre à l'oeuvre du peintre d'Allemagne du Nord si populaire, alors que les dernières publications sont déjà épuisées depuis un certain temps.
Parallèlement, il existe sans aucun doute possible aussi un "schwontkowskisme", mis en évidence par Jens Hoffmann, directeur adjoint du Musée juif de New York, dans son article. Il peut prendre la forme de l'humour sec peint - tel que les "pages culture d'un magazine masculin" le désignaient autrefois et auquel Richard Prince a récemment donné ses lettres de noblesse, mais aussi du scénario catastrophe d'apparence kafkaïen, sombre pastos, par exemple le smog dans le parc des sculptures à travers lequel s'écoule une avalanche de voitures, ou une autoroute qui se perd dans le soleil couchant.
C'est peut-être ce caractère tragi-comique des toiles qui donne un avant-goût haut en couleurs du Jugement dernier.
Au vu de l'oeuvre peinte de Norbert Schwontkowski, né en 1949 à Brême, une question fondamentale se pose, à savoir quelle forme de peinture est-elle encore seulement possible après la révolution technologique et les pertes qui y sont associées, des perceptions propres du monde comme de sa propre identité physique ? Florian Waldvogel, directeur du Kunstverein de Hambourg, interroge cette relation dans "L'Enfer au ralenti", sa contribution en tant qu'éditeur de ce volume qui donne enfin de nouveau accès sous forme de livre à l'oeuvre du peintre d'Allemagne du Nord si populaire, alors que les dernières publications sont déjà épuisées depuis un certain temps.
Parallèlement, il existe sans aucun doute possible aussi un "schwontkowskisme", mis en évidence par Jens Hoffmann, directeur adjoint du Musée juif de New York, dans son article. Il peut prendre la forme de l'humour sec peint - tel que les "pages culture d'un magazine masculin" le désignaient autrefois et auquel Richard Prince a récemment donné ses lettres de noblesse, mais aussi du scénario catastrophe d'apparence kafkaïen, sombre pastos, par exemple le smog dans le parc des sculptures à travers lequel s'écoule une avalanche de voitures, ou une autoroute qui se perd dans le soleil couchant.
C'est peut-être ce caractère tragi-comique des toiles qui donne un avant-goût haut en couleurs du Jugement dernier.