Nicolas De Stael. L'Aventure En Peinture
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages236
- PrésentationBroché
- Poids0.295 kg
- Dimensions13,1 cm × 21,5 cm × 1,3 cm
- ISBN2-8046-0256-7
- EAN9782804602567
- Date de parution16/02/1999
- Collectionsignatures
- ÉditeurRenaissance du Livre (La)
Résumé
A la charnière des années cinquante, le peintre Nicolas de Staël réalisa plus de mille toiles. Cette étude retrace l'itinéraire de l'artiste, depuis sa naissance à Saint-Petersbourg en 1914 jusqu'à son suicide à Antibes en 1955, à 41 ans. Elle est ponctuée d'extraits de sa correspondance, et représente un miroir spontané de sa vie de peintre et d'homme. L'auteur commente l'évolution picturale de Nicolas de Staël, depuis sa première exposition à Paris en 1944 avec des non-figuratifs, puis ses toiles de 1952 où apparaissent paysages, natures mortes et portraits, jusqu'à l'immense toile inachevée de 1955 : Le Grand Concert. Comment se situe cette peinture dans le tourbillon artistique de l'après-guerre, quelles furent les amitiés de l'artiste, que représentent aujourd'hui ses toiles et ses dessins ? Ce sont quelques-unes des questions présentées dans cet essai, enrichies par des informations sur les lieux de présentation des tableaux de Nicolas de Staël et d'une chronologie commentée.
A la charnière des années cinquante, le peintre Nicolas de Staël réalisa plus de mille toiles. Cette étude retrace l'itinéraire de l'artiste, depuis sa naissance à Saint-Petersbourg en 1914 jusqu'à son suicide à Antibes en 1955, à 41 ans. Elle est ponctuée d'extraits de sa correspondance, et représente un miroir spontané de sa vie de peintre et d'homme. L'auteur commente l'évolution picturale de Nicolas de Staël, depuis sa première exposition à Paris en 1944 avec des non-figuratifs, puis ses toiles de 1952 où apparaissent paysages, natures mortes et portraits, jusqu'à l'immense toile inachevée de 1955 : Le Grand Concert. Comment se situe cette peinture dans le tourbillon artistique de l'après-guerre, quelles furent les amitiés de l'artiste, que représentent aujourd'hui ses toiles et ses dessins ? Ce sont quelques-unes des questions présentées dans cet essai, enrichies par des informations sur les lieux de présentation des tableaux de Nicolas de Staël et d'une chronologie commentée.