Ni trop, ni pas assez mais pas… la bonne éducation ?. Economique de l'inadéquation horizontale entre formation et emploi
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- Nombre de pages220
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.372 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,3 cm
- ISBN978-2-36170-257-1
- EAN9782361702571
- Date de parution17/05/2022
- ÉditeurPresses Université Toulouse 1
Résumé
L'inadéquation des compétences de la main-d'oeuvre aux besoins de l'économie constitue une question sociale récurrente. Le thème de la suréducation (ou de "l'inadéquation verticale : ie un écart enregistré entre le niveau d'éducation du travailleur et le niveau d'éducation requis par son emploi") tend aujourd'hui à céder la place à la question de "l'inadéquation horizontale" définie par un décalage entre le type de formation reçue par le travailleur (spécialité, discipline) et le domaine de l'emploi exercé.
Question sociale d'actualité, celle-ci s'est transformée en question de recherche par les différentes sciences sociales. L'ouvrage tente de faire le point sur les divers enjeux du problème de l'inadéquation horizontale entre formation et emploi, en investissant une littérature économique récente mais dense et ouverte aux débats contradictoires aussi bien sur les faits que sur les interprétations. Au plan théorique, l'objet d'analyse s'avère encore rétif à toute tentative d'interprétation générale.
Aussi l'ouvrage présente-il en les discutant les différents corpus théoriques, avancés par l'économie du travail et l'économie de l'éducation, susceptibles de fournir des interprétations plausibles mais souvent partielles des causes et des conséquences de la suréducation. Un balayage des outils méthodologiques spécifiques proposés et des principaux résultats enregistrés par les nombreuses études nationales et internationales sur la question est aussi effectué.
Ce dernier pointe les divers aspects de cet appariement imparfait enregistré entre le domaine d'éducation des travailleurs et le domaine des emplois dont l'ampleur, les causes et les diverses conséquences sur le marché du travail restent encore entachées de beaucoup d'incertitude.
Question sociale d'actualité, celle-ci s'est transformée en question de recherche par les différentes sciences sociales. L'ouvrage tente de faire le point sur les divers enjeux du problème de l'inadéquation horizontale entre formation et emploi, en investissant une littérature économique récente mais dense et ouverte aux débats contradictoires aussi bien sur les faits que sur les interprétations. Au plan théorique, l'objet d'analyse s'avère encore rétif à toute tentative d'interprétation générale.
Aussi l'ouvrage présente-il en les discutant les différents corpus théoriques, avancés par l'économie du travail et l'économie de l'éducation, susceptibles de fournir des interprétations plausibles mais souvent partielles des causes et des conséquences de la suréducation. Un balayage des outils méthodologiques spécifiques proposés et des principaux résultats enregistrés par les nombreuses études nationales et internationales sur la question est aussi effectué.
Ce dernier pointe les divers aspects de cet appariement imparfait enregistré entre le domaine d'éducation des travailleurs et le domaine des emplois dont l'ampleur, les causes et les diverses conséquences sur le marché du travail restent encore entachées de beaucoup d'incertitude.
L'inadéquation des compétences de la main-d'oeuvre aux besoins de l'économie constitue une question sociale récurrente. Le thème de la suréducation (ou de "l'inadéquation verticale : ie un écart enregistré entre le niveau d'éducation du travailleur et le niveau d'éducation requis par son emploi") tend aujourd'hui à céder la place à la question de "l'inadéquation horizontale" définie par un décalage entre le type de formation reçue par le travailleur (spécialité, discipline) et le domaine de l'emploi exercé.
Question sociale d'actualité, celle-ci s'est transformée en question de recherche par les différentes sciences sociales. L'ouvrage tente de faire le point sur les divers enjeux du problème de l'inadéquation horizontale entre formation et emploi, en investissant une littérature économique récente mais dense et ouverte aux débats contradictoires aussi bien sur les faits que sur les interprétations. Au plan théorique, l'objet d'analyse s'avère encore rétif à toute tentative d'interprétation générale.
Aussi l'ouvrage présente-il en les discutant les différents corpus théoriques, avancés par l'économie du travail et l'économie de l'éducation, susceptibles de fournir des interprétations plausibles mais souvent partielles des causes et des conséquences de la suréducation. Un balayage des outils méthodologiques spécifiques proposés et des principaux résultats enregistrés par les nombreuses études nationales et internationales sur la question est aussi effectué.
Ce dernier pointe les divers aspects de cet appariement imparfait enregistré entre le domaine d'éducation des travailleurs et le domaine des emplois dont l'ampleur, les causes et les diverses conséquences sur le marché du travail restent encore entachées de beaucoup d'incertitude.
Question sociale d'actualité, celle-ci s'est transformée en question de recherche par les différentes sciences sociales. L'ouvrage tente de faire le point sur les divers enjeux du problème de l'inadéquation horizontale entre formation et emploi, en investissant une littérature économique récente mais dense et ouverte aux débats contradictoires aussi bien sur les faits que sur les interprétations. Au plan théorique, l'objet d'analyse s'avère encore rétif à toute tentative d'interprétation générale.
Aussi l'ouvrage présente-il en les discutant les différents corpus théoriques, avancés par l'économie du travail et l'économie de l'éducation, susceptibles de fournir des interprétations plausibles mais souvent partielles des causes et des conséquences de la suréducation. Un balayage des outils méthodologiques spécifiques proposés et des principaux résultats enregistrés par les nombreuses études nationales et internationales sur la question est aussi effectué.
Ce dernier pointe les divers aspects de cet appariement imparfait enregistré entre le domaine d'éducation des travailleurs et le domaine des emplois dont l'ampleur, les causes et les diverses conséquences sur le marché du travail restent encore entachées de beaucoup d'incertitude.