Ni gauche ni droite : les chassés-croisés idéologiques des intellectuels français et allemands dans l'Entre-deux-guerres

Par : Gilbert Merlio

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  • Nombre de pages314
  • PrésentationBroché
  • Poids0.69 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,3 cm
  • ISBN2-85892-204-7
  • EAN9782858922048
  • Date de parution01/06/1995
  • ÉditeurMSHA

Résumé

Cet ouvrage réunit les contributions de spécialistes allemands et français sur un sujet qui, depuis les ouvrages d'Armin Mohler (1948) et de Kurt Sontheimer (1962) en Allemagne, de Jean-Louis Loubet del Boyle (1967) en Fronce, n'a cessé de retenir l'attention des historiens du second après-guerre : la recherche d'une "troisième voie" entre marxisme et libéralisme durant le premier après-guerre, les chassés-croisés idéologiques et politiques qu'elle entraîne, le problème des rapports de cette pensée "ni gauche, ni droite", " conservatrice-révolutionnaire " ou " non-conformiste " avec le fascisme et le national-socialisme. L'originalité de ce recueil vient de ce qu'il pose les jalons d'une étude comparative mettant en évidence les convergences et les divergences de ces "idéologies de la crise" en Allemagne et en France, ainsi que les différentes médiations qui ont pu s'effectuer d'un pays à l'autre. A l'heure où en Europe les idéologies sont de nouveau en crise, ces études présentent, à n'en pas douter, un intérêt qui n'est pas seulement historique.
Cet ouvrage réunit les contributions de spécialistes allemands et français sur un sujet qui, depuis les ouvrages d'Armin Mohler (1948) et de Kurt Sontheimer (1962) en Allemagne, de Jean-Louis Loubet del Boyle (1967) en Fronce, n'a cessé de retenir l'attention des historiens du second après-guerre : la recherche d'une "troisième voie" entre marxisme et libéralisme durant le premier après-guerre, les chassés-croisés idéologiques et politiques qu'elle entraîne, le problème des rapports de cette pensée "ni gauche, ni droite", " conservatrice-révolutionnaire " ou " non-conformiste " avec le fascisme et le national-socialisme. L'originalité de ce recueil vient de ce qu'il pose les jalons d'une étude comparative mettant en évidence les convergences et les divergences de ces "idéologies de la crise" en Allemagne et en France, ainsi que les différentes médiations qui ont pu s'effectuer d'un pays à l'autre. A l'heure où en Europe les idéologies sont de nouveau en crise, ces études présentent, à n'en pas douter, un intérêt qui n'est pas seulement historique.