Napoléon III. L'empereur mal-aimé

Par : Yves Bruley

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  • Nombre de pages371
  • Poids0.522 kg
  • Dimensions13,7 cm × 20,5 cm × 3,7 cm
  • ISBN978-2-8105-0427-5
  • EAN9782810504275
  • Date de parution04/10/2012
  • CollectionIls ont fait la France
  • ÉditeurLe Figaro Editions
  • PréfacierMax Gallo

Résumé

Qui fut Napoléon III ? Qu'a-t-il fait pour la France, lui qui en fut l'empereur de 1852 à 1870, plus longtemps donc que son oncle Napoléon 1er ? Ceux qui cherchent à comprendre comment la France s'est construite ne cessent de s'interroger, comme si la postérité, l'Histoire, hésitait encore à rendre son verdict. L'opinion se divise à propos des qualités de l'homme, du coup d'Etat du 2 décembre 1851, du rétablissement de l'Empire, un an plus tard, et du bilan du règne.
Victor Hugo, exilé, donne le ton. Il est l'opposant irréductible. Malheur, écrit Hugo, à qui resterait impartial devant les plaies sanglantes de la Liberté !" Le portrait de l'empereur et les accusations sont sans appel : "Ah ! Le malheureux !, poursuit Hugo, il prend tout, il use tout, il salit tout, il déshonore tout... Louis Bonaparte, entouré de ses valets et de filles, accommode pour les besoins de sa table et de son alcôve le Couronnement, le Sacre, la Légion d'honneur...
Ah, Français ! Regardez le pourceau couvert de fange qui se vautre sur cette peau de lion..." Ces propos imposent cependant d'aller au-delà des indignations et des jugements sommaires. Car le suffrage universel n'a jamais fait défaut à Louis Napoléon. Napoléon III aura gardé jusqu'au bout la confiance du "peuple", les paysans, sensible à la légende napoléonienne. Les "élites" rejettent Napoléon III, le "peuple se défie de la monarchie alliée à la République version Thiers : "La République sera conservatrice ou ne sera pas."
Qui fut Napoléon III ? Qu'a-t-il fait pour la France, lui qui en fut l'empereur de 1852 à 1870, plus longtemps donc que son oncle Napoléon 1er ? Ceux qui cherchent à comprendre comment la France s'est construite ne cessent de s'interroger, comme si la postérité, l'Histoire, hésitait encore à rendre son verdict. L'opinion se divise à propos des qualités de l'homme, du coup d'Etat du 2 décembre 1851, du rétablissement de l'Empire, un an plus tard, et du bilan du règne.
Victor Hugo, exilé, donne le ton. Il est l'opposant irréductible. Malheur, écrit Hugo, à qui resterait impartial devant les plaies sanglantes de la Liberté !" Le portrait de l'empereur et les accusations sont sans appel : "Ah ! Le malheureux !, poursuit Hugo, il prend tout, il use tout, il salit tout, il déshonore tout... Louis Bonaparte, entouré de ses valets et de filles, accommode pour les besoins de sa table et de son alcôve le Couronnement, le Sacre, la Légion d'honneur...
Ah, Français ! Regardez le pourceau couvert de fange qui se vautre sur cette peau de lion..." Ces propos imposent cependant d'aller au-delà des indignations et des jugements sommaires. Car le suffrage universel n'a jamais fait défaut à Louis Napoléon. Napoléon III aura gardé jusqu'au bout la confiance du "peuple", les paysans, sensible à la légende napoléonienne. Les "élites" rejettent Napoléon III, le "peuple se défie de la monarchie alliée à la République version Thiers : "La République sera conservatrice ou ne sera pas."
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