Napoléon, Empereur de l'île d'Elbe. Souvenirs et Anecdotes de Pons de l'Hérault

Par : André Pons de l'Hérault

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  • Nombre de pages416
  • PrésentationBroché
  • Poids0.435 kg
  • Dimensions13,0 cm × 19,5 cm × 2,5 cm
  • ISBN2-916399-00-3
  • EAN9782916399003
  • Date de parution22/02/2006
  • CollectionSources & ressources
  • ÉditeurEditeurs Libres
  • PréfacierChristophe Bourachot

Résumé

Révolutionnaire de la première heure, républicain de cœur, Pons de l'Hérault s'oppose au coup d'Etat de Bonaparte. Il est écarté du pouvoir, on l'envoie administrer les mines de fer d'une petite sous-préfecture du grand Empire : l'île d'Elbe. Mais, en 1814, l'impensable bouscule l'histoire : Napoléon abdique et devient souverain de la petite île. Malgré le républicanisme ardent de Pons, l'Empereur, qui apprécie ce petit administrateur retors, lui offre de raconter ce nouvel acte de l'Epopée. Il refuse d'être un historiographe officiel mais rien ne lui échappe ; il prend même des notes qui formeront plus tard l'histoire méconnue des trois cents jours d'exil qui furent aussi trois cents jours de règne. Ce n'est pas le petit caporal des champs de bataille ni le Roi des rois camouflé derrière l'étiquette des Tuileries que raconte Pons ; ce n'est pas encore le prisonnier orchestrant sa propre légende à Sainte-Hélène. Le Napoléon qu'il décrit est un empereur du quotidien, un empereur en exil, qui n'a pourtant rien perdu de sa pratique virtuose du pouvoir, plus empereur que jamais malgré son empire en miniature.
Révolutionnaire de la première heure, républicain de cœur, Pons de l'Hérault s'oppose au coup d'Etat de Bonaparte. Il est écarté du pouvoir, on l'envoie administrer les mines de fer d'une petite sous-préfecture du grand Empire : l'île d'Elbe. Mais, en 1814, l'impensable bouscule l'histoire : Napoléon abdique et devient souverain de la petite île. Malgré le républicanisme ardent de Pons, l'Empereur, qui apprécie ce petit administrateur retors, lui offre de raconter ce nouvel acte de l'Epopée. Il refuse d'être un historiographe officiel mais rien ne lui échappe ; il prend même des notes qui formeront plus tard l'histoire méconnue des trois cents jours d'exil qui furent aussi trois cents jours de règne. Ce n'est pas le petit caporal des champs de bataille ni le Roi des rois camouflé derrière l'étiquette des Tuileries que raconte Pons ; ce n'est pas encore le prisonnier orchestrant sa propre légende à Sainte-Hélène. Le Napoléon qu'il décrit est un empereur du quotidien, un empereur en exil, qui n'a pourtant rien perdu de sa pratique virtuose du pouvoir, plus empereur que jamais malgré son empire en miniature.