Mussolini, "Un homme à nous". La France et la marche sur Rome

Par : Alberto Toscano
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  • Nombre de pages240
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.31 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,5 cm × 1,9 cm
  • ISBN978-2-200-63407-0
  • EAN9782200634070
  • Date de parution05/10/2022
  • ÉditeurArmand Colin

Résumé

Automne 1914. Alors que la France essuie ses premiers revers face à l'armée allemande, le gouvernement de l'Union sacrée considère Benito Mussolini, socialiste révolutionnaire et allié de Paris, comme l'un des personnages capables de pousser Rome vers la guerre. Automne 1922. Mussolini, fasciste et contre-révolutionnaire, accède au pouvoir grâce à la " marche sur Rome ". La France est soulagée : Mussolini est vu comme un chef capable de ramener l'ordre en Italie, après des années d'affrontements (par ailleurs alimentés par ses " chemises noires ").
En 1914, Mussolini était soutenu par les journaux et le gouvernement français, jusqu'au ministre marxiste Jules Guesde, qui le considérait comme " Un homme à nous ". En 1922, la majorité de la presse française signe au Duce un chèque en blanc. Mussolini est considéré comme un ami, partenaire de Paris sur le théâtre européen. Une fois de plus, on a envie de le voir comme " un homme à nous " ; sans imaginer qu'il peut devenir " l'homme à quelqu'un d'autre ".
Alberto Toscano décrypte la presse française d'il y a un siècle avec le regard d'un journaliste actuel. Le résultat s'avère surprenant.
Automne 1914. Alors que la France essuie ses premiers revers face à l'armée allemande, le gouvernement de l'Union sacrée considère Benito Mussolini, socialiste révolutionnaire et allié de Paris, comme l'un des personnages capables de pousser Rome vers la guerre. Automne 1922. Mussolini, fasciste et contre-révolutionnaire, accède au pouvoir grâce à la " marche sur Rome ". La France est soulagée : Mussolini est vu comme un chef capable de ramener l'ordre en Italie, après des années d'affrontements (par ailleurs alimentés par ses " chemises noires ").
En 1914, Mussolini était soutenu par les journaux et le gouvernement français, jusqu'au ministre marxiste Jules Guesde, qui le considérait comme " Un homme à nous ". En 1922, la majorité de la presse française signe au Duce un chèque en blanc. Mussolini est considéré comme un ami, partenaire de Paris sur le théâtre européen. Une fois de plus, on a envie de le voir comme " un homme à nous " ; sans imaginer qu'il peut devenir " l'homme à quelqu'un d'autre ".
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