La poésie, ce lent déchiffrement de l'absence... Gérard Mottet, en ce recueil, nous suggère que la voix seule du poème accorde chair et souffle / de présence à l'inexistant... aux brumes de l'imaginaire... aux possibles dévoilements. Chair et souffle : mots révélateurs de ce qui sous-tend les Murmures de l'absence. Ce souffle est porteur d'une voix qui s'abandonne volontiers au flux des images, à une parole spontanée évoquant aussi bien des gouffres infinis que les presque riens de tous les jours.
Revenant avec insistance sur le thème de l'amour (vécu comme une absence / au creux de moi), la voix se trouve plus ou moins doublée par une voix en écho - un répons lointain perçu tel un halo harmonique. Combien mieux je te vois rayonnante / dans la lumière de l'absence... Une lumière née de l'ombre, et que le poète sait rendre visible. Extrait de la préface de Michel Passelergue.
La poésie, ce lent déchiffrement de l'absence... Gérard Mottet, en ce recueil, nous suggère que la voix seule du poème accorde chair et souffle / de présence à l'inexistant... aux brumes de l'imaginaire... aux possibles dévoilements. Chair et souffle : mots révélateurs de ce qui sous-tend les Murmures de l'absence. Ce souffle est porteur d'une voix qui s'abandonne volontiers au flux des images, à une parole spontanée évoquant aussi bien des gouffres infinis que les presque riens de tous les jours.
Revenant avec insistance sur le thème de l'amour (vécu comme une absence / au creux de moi), la voix se trouve plus ou moins doublée par une voix en écho - un répons lointain perçu tel un halo harmonique. Combien mieux je te vois rayonnante / dans la lumière de l'absence... Une lumière née de l'ombre, et que le poète sait rendre visible. Extrait de la préface de Michel Passelergue.