Monsieur Adrien
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- Nombre de pages277
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.16 kg
- Dimensions10,9 cm × 18,1 cm × 1,9 cm
- ISBN2-02-012848-9
- EAN9782020128483
- Date de parution01/01/1991
- CollectionPoints. Roman
- ÉditeurSeuil
Résumé
Adrien Desgriers est un héros de notre temps, un arriviste de gauche, qui accumule les erreurs et les désillusions. Sa quête va le mener loin, de l'autre côté de l'Atlantique ; en haut, au sommet de la société.
Il a épousé Marianne, la fille d'un riche industriel, Alexandre Brendel-Mimard, mais quelque chose le ronge. Il est habité par le gauchisme, et part pour les Etats-Unis où il milite chez les socialistes prolétariens. Il travaille ensuite à Chicago, en usine, puis dans un fast-food à Saint Louis. Extravagant et insolite, l'Amérique défile sous ses yeux et sous les nôtres. A Cuba, il sera jeté en prison.
De retour en France, il retrouve sa femme, commence une carrière littéraire, mondaine, devient député socialiste et connaît une heure de gloire, très éphémère, au congrès de Metz.
Albert Richter, le narrateur de Monsieur Adrien, cherche à reconstituer ce parcours fulgurant. Est-ce Adrien Desgriers qui a tué son beau-père ? C'est l'un des mystères qu'Albert pourrait éclaircir en racontant les tribulations de son ami qui lui avait pris Marianne ... Fable violente sur l'ambition, éducation sentimentale et politique d'un enfant du siècle, ce roman au ton stendhalien est aussi une réflexion sur l'essentiel : le bien et le mal.
" Pour Giesbert, le monde politique sent mauvais. Littéralement. Monsieur Adrien est un roman d'odeurs. Les personnages flairent, suent et puent. Comme des animaux (...) Monsieur Adrien exhale une odeur inquiétante, sui generis. C'est rare ! Les romans d'aujourd'hui sont si bien élevés et sentent si bon le déodorant ".
Jean-Paul Kauffmann, Le Matin
" Quand un romancier est à ce point à l'aise avec sa créature, le roman se déroule comme un tapis magique - on marche à fond. Cette quête politique et sentimentale devient la nôtre ".
Claire Gallois, Le Figaro
" Un roman vif, inquiet, sans défaillances. On le lira d'un seul souffle, curieux de nous-mêmes et du bestiaire peuplé de modernes carnassiers qu'il tend comme un miroir ".
Jean-Paul Enthoven, Le Nouvel Observateur
Adrien Desgriers est un héros de notre temps, un arriviste de gauche, qui accumule les erreurs et les désillusions. Sa quête va le mener loin, de l'autre côté de l'Atlantique ; en haut, au sommet de la société.
Il a épousé Marianne, la fille d'un riche industriel, Alexandre Brendel-Mimard, mais quelque chose le ronge. Il est habité par le gauchisme, et part pour les Etats-Unis où il milite chez les socialistes prolétariens. Il travaille ensuite à Chicago, en usine, puis dans un fast-food à Saint Louis. Extravagant et insolite, l'Amérique défile sous ses yeux et sous les nôtres. A Cuba, il sera jeté en prison.
De retour en France, il retrouve sa femme, commence une carrière littéraire, mondaine, devient député socialiste et connaît une heure de gloire, très éphémère, au congrès de Metz.
Albert Richter, le narrateur de Monsieur Adrien, cherche à reconstituer ce parcours fulgurant. Est-ce Adrien Desgriers qui a tué son beau-père ? C'est l'un des mystères qu'Albert pourrait éclaircir en racontant les tribulations de son ami qui lui avait pris Marianne ... Fable violente sur l'ambition, éducation sentimentale et politique d'un enfant du siècle, ce roman au ton stendhalien est aussi une réflexion sur l'essentiel : le bien et le mal.
" Pour Giesbert, le monde politique sent mauvais. Littéralement. Monsieur Adrien est un roman d'odeurs. Les personnages flairent, suent et puent. Comme des animaux (...) Monsieur Adrien exhale une odeur inquiétante, sui generis. C'est rare ! Les romans d'aujourd'hui sont si bien élevés et sentent si bon le déodorant ".
Jean-Paul Kauffmann, Le Matin
" Quand un romancier est à ce point à l'aise avec sa créature, le roman se déroule comme un tapis magique - on marche à fond. Cette quête politique et sentimentale devient la nôtre ".
Claire Gallois, Le Figaro
" Un roman vif, inquiet, sans défaillances. On le lira d'un seul souffle, curieux de nous-mêmes et du bestiaire peuplé de modernes carnassiers qu'il tend comme un miroir ".
Jean-Paul Enthoven, Le Nouvel Observateur