Monographie d'Abriès. Notes pour une histoire d'Abriès

Par : Pierre Berge
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  • Nombre de pages288
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.48 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-919754-30-4
  • EAN9782919754304
  • Date de parution01/10/2014
  • ÉditeurTranshumances
  • AnnotateurJean-Gérard Lapacherie

Résumé

Né à Saint-Véran en 1868 (et décédé dans ce village en 1949), l'abbé Berge est l'auteur d'une Monographie de Saint-Véran, parue en 1928 et d'une Histoire du Queyras dont le manuscrit a disparu. La Monographie d'Abriès, rédigée entre 1928 et 1932, est inédite. La méthode utilisée par l'abbé Berge, qui ne se prétend pas historien mais dit "aimer l'histoire du Queyras", consiste à rassembler, parfois en les résumant, les manuscrits anciens, les extraits d'ouvrages des érudits locaux, mais surtout - source la plus féconde et la plus originale - les registres de paroisse et de fabrique, les livres de raison et les "papiers de familles".
Cet ouvrage touffu, dont les termes sont précisés dans un lexique, nous rappelle que si le Queyras constituait, pour ce qui concernait la répartition de l'impôt, un "escarton", il était aussi une châtellenie, rendant des comptes aux différentes institutions de l'Ancien Régime.
Né à Saint-Véran en 1868 (et décédé dans ce village en 1949), l'abbé Berge est l'auteur d'une Monographie de Saint-Véran, parue en 1928 et d'une Histoire du Queyras dont le manuscrit a disparu. La Monographie d'Abriès, rédigée entre 1928 et 1932, est inédite. La méthode utilisée par l'abbé Berge, qui ne se prétend pas historien mais dit "aimer l'histoire du Queyras", consiste à rassembler, parfois en les résumant, les manuscrits anciens, les extraits d'ouvrages des érudits locaux, mais surtout - source la plus féconde et la plus originale - les registres de paroisse et de fabrique, les livres de raison et les "papiers de familles".
Cet ouvrage touffu, dont les termes sont précisés dans un lexique, nous rappelle que si le Queyras constituait, pour ce qui concernait la répartition de l'impôt, un "escarton", il était aussi une châtellenie, rendant des comptes aux différentes institutions de l'Ancien Régime.