Mondialisation et technologies de la communication en Afrique
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- Nombre de pages332
- PrésentationBroché
- Poids0.54 kg
- Dimensions16,1 cm × 24,0 cm × 3,0 cm
- ISBN2-84586-547-3
- EAN9782845865471
- Date de parution26/07/2004
- CollectionHommes et Sociétés
- ÉditeurKarthala
- CompilateurAnnie Chéneau-Loquay
Résumé
En Afrique, les NTIC s'intègrent progressivement dans les différents aspects de la vie sociale et constituent autant d'outils et de ressources porteurs d'enjeux, de modalités d'organisation, de modèles culturels et de savoirs produits au Nord. Cependant les processus d'insertion et des formes d'usage de ces technologies, ne sauraient s'analyser selon une logique simple de transfert d'un modèle imposé, par rapport auquel les Africains seraient de simples récepteurs plus consommateurs qu'acteurs. Les quinze auteurs regroupés dans cet ouvrage s'interrogent sur la compatibilité de ces technologies avec les modes de fonctionnement des sociétés et des économies locales. Ils étudient comment elles sont accessibles et utilisées au quotidien et si elles induisent de réels changements dans les modes de vie des populations de différents pays d'Afrique (Maghreb, Sénégal, Ghana, Mali, Burkina Faso, Cap Vert, République démocratique du Congo), dans la diaspora sénégalaise et à Paris dans un quartier d'immigrés. Ils montrent ainsi sous des angles d'approche différents comment ces nouveaux outils contribuent à redéfinir les enjeux sociaux en offrant de nouvelles ressources assorties de nouvelles contraintes qu'investissent les acteurs qui s'approprient ainsi la mondialisation. Dans une première partie, l'Etat et son territoire fournissent une échelle pivot pour une analyse des politiques publiques, mais aussi du jeu des acteurs publics et privés, qui concourent à l'équipement en réseaux d'information et de communication permettant aux différents pays et régions d'être reliés entre eux et de s'insérer dans la mondialisation. Dans une seconde partie, les auteurs analysent plutôt comment s'agencent les accès aux nouveaux outils de communication, quelles en sont les contraintes et les formes d'appropriation, en particulier dans les milieux du commerce et des migrations, dans les médias et au travers de la question de l'utilisation des langues locales sur le Web.
En Afrique, les NTIC s'intègrent progressivement dans les différents aspects de la vie sociale et constituent autant d'outils et de ressources porteurs d'enjeux, de modalités d'organisation, de modèles culturels et de savoirs produits au Nord. Cependant les processus d'insertion et des formes d'usage de ces technologies, ne sauraient s'analyser selon une logique simple de transfert d'un modèle imposé, par rapport auquel les Africains seraient de simples récepteurs plus consommateurs qu'acteurs. Les quinze auteurs regroupés dans cet ouvrage s'interrogent sur la compatibilité de ces technologies avec les modes de fonctionnement des sociétés et des économies locales. Ils étudient comment elles sont accessibles et utilisées au quotidien et si elles induisent de réels changements dans les modes de vie des populations de différents pays d'Afrique (Maghreb, Sénégal, Ghana, Mali, Burkina Faso, Cap Vert, République démocratique du Congo), dans la diaspora sénégalaise et à Paris dans un quartier d'immigrés. Ils montrent ainsi sous des angles d'approche différents comment ces nouveaux outils contribuent à redéfinir les enjeux sociaux en offrant de nouvelles ressources assorties de nouvelles contraintes qu'investissent les acteurs qui s'approprient ainsi la mondialisation. Dans une première partie, l'Etat et son territoire fournissent une échelle pivot pour une analyse des politiques publiques, mais aussi du jeu des acteurs publics et privés, qui concourent à l'équipement en réseaux d'information et de communication permettant aux différents pays et régions d'être reliés entre eux et de s'insérer dans la mondialisation. Dans une seconde partie, les auteurs analysent plutôt comment s'agencent les accès aux nouveaux outils de communication, quelles en sont les contraintes et les formes d'appropriation, en particulier dans les milieux du commerce et des migrations, dans les médias et au travers de la question de l'utilisation des langues locales sur le Web.