Je découvre juste cet album, et j’en suis toute émue.
Il faut le talent et la plume de Gilles Baum, prince des émotions, pour pouvoir aborder le sujet de la maladie d’Alzheimer avec autant de poésie, de tendresse et d’humour.
Et que dire devant les merveilleuses illustrations de Barroux, sinon qu’elles collent parfaitement au texte, que leur rondeur et leur finesse l’accompagnent avec bonheur.
La trouvaille de l’exergue qui, petit à petit, s’efface au profit de la suivante, est subtile.
Cet album est un bijou de délicatesse, destiné à ceux qui voient se consumer peu à peu, à cause de cette terrible maladie, un être aimé, ou plus globalement à quelqu’un touché par ce sujet .
Absolument splendide.
Je découvre juste cet album, et j’en suis toute émue.
Il faut le talent et la plume de Gilles Baum, prince des émotions, pour pouvoir aborder le sujet de la maladie d’Alzheimer avec autant de poésie, de tendresse et d’humour.
Et que dire devant les merveilleuses illustrations de Barroux, sinon qu’elles collent parfaitement au texte, que leur rondeur et leur finesse l’accompagnent avec bonheur.
La trouvaille de l’exergue qui, petit à petit, s’efface au profit de la suivante, est subtile.
Cet album est un bijou de délicatesse, destiné à ceux qui voient se consumer peu à peu, à cause de cette terrible maladie, un être aimé, ou plus globalement à quelqu’un touché par ce sujet .
Absolument splendide.