Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages223
- PrésentationBroché
- Poids0.315 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,0 cm × 2,0 cm
- ISBN2-268-04521-8
- EAN9782268045214
- Date de parution04/03/2003
- Collectionanatolia
- ÉditeurRocher (Editions du)
Résumé
Ecrit sous le pseudonyme féminin de Brunette Coleman, ce livre témoigne d'un penchant pour les histoires de pensionnat de jeunes filles, en vogue en ce temps-là, et du goîtt de l'auteur pour les liens intimes qui se nouent entre les jeunes pensionnaires, pour leurs fiasques dans les dortoirs après l'extinction des feux. Dans Moeurs étranges au pensionnat de jeunes filles, Larkin, grâce à un style allègre et à un humour pétillant, subvertit le genre littéraire des girls'school stories-un genre qui possède sa propre forme d'érotisme, mais à laquelle Larkin ajoute une touche de voyeurisme masculin. A onze heures moins le quart, la cloche sonna, et les couloirs et les escaliers du collège furent submergés par un flot d'élèves, toutes en tunique bordeaux, corsage blanc et bas noirs. Assez curieusement, il n'en résultait aucun effet d'uniformité : c'était un tel défilé de usages différents, de chevelures, de teints et d'yeux de couleurs diverses, de coiffures de toutes sortes, avec de tels contrastes d'âge, de constitution et de taille, qu'un observateur eîtt été ébloui par la variété plutôt qu'abattu par une quelconque impressitm de fabrication en série. Certaines, répétons-le, étaient des blondes aux joues de rose et d'ivoire ; d'autres avaient le teint hâlé et les cheveux bruns. Les unes avaient la fraîcheur d'un bel avril, avec leurs cheveux brillants et leurs yeux rieurs, mais d'autres étaient lourdes et passives conune des vaches. Les unes portaient un cartable, les autres une petite mallette. Toutes jacassaient, riaient et poussaient des cris aigus, se bousculant et se pinçant à chaque mouvement de foule. Les prefects essayaient en vain de mettre dans ces chamailleries.
Ecrit sous le pseudonyme féminin de Brunette Coleman, ce livre témoigne d'un penchant pour les histoires de pensionnat de jeunes filles, en vogue en ce temps-là, et du goîtt de l'auteur pour les liens intimes qui se nouent entre les jeunes pensionnaires, pour leurs fiasques dans les dortoirs après l'extinction des feux. Dans Moeurs étranges au pensionnat de jeunes filles, Larkin, grâce à un style allègre et à un humour pétillant, subvertit le genre littéraire des girls'school stories-un genre qui possède sa propre forme d'érotisme, mais à laquelle Larkin ajoute une touche de voyeurisme masculin. A onze heures moins le quart, la cloche sonna, et les couloirs et les escaliers du collège furent submergés par un flot d'élèves, toutes en tunique bordeaux, corsage blanc et bas noirs. Assez curieusement, il n'en résultait aucun effet d'uniformité : c'était un tel défilé de usages différents, de chevelures, de teints et d'yeux de couleurs diverses, de coiffures de toutes sortes, avec de tels contrastes d'âge, de constitution et de taille, qu'un observateur eîtt été ébloui par la variété plutôt qu'abattu par une quelconque impressitm de fabrication en série. Certaines, répétons-le, étaient des blondes aux joues de rose et d'ivoire ; d'autres avaient le teint hâlé et les cheveux bruns. Les unes avaient la fraîcheur d'un bel avril, avec leurs cheveux brillants et leurs yeux rieurs, mais d'autres étaient lourdes et passives conune des vaches. Les unes portaient un cartable, les autres une petite mallette. Toutes jacassaient, riaient et poussaient des cris aigus, se bousculant et se pinçant à chaque mouvement de foule. Les prefects essayaient en vain de mettre dans ces chamailleries.