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  • Nombre de pages148
  • PrésentationRelié
  • Poids0.55 kg
  • Dimensions16,5 cm × 23,5 cm × 0,0 cm
  • ISBN978-88-6749-443-9
  • EAN9788867494439
  • Date de parution28/04/2021
  • ÉditeurMOUSSE

Résumé

Initialement conçue pour documenter trois expositions personnelles à de Appel à Amsterdam (2015), au Kunstverein Hannover (2015) et au S. M. A. K. à Gand (2017), cette publication rassemble également de nouveaux textes de commande et un essai réédité qui éclairent la pratique de l'artiste sur une décennie. Le texte de Martin Germann est centré sur la phénoménologie du processus d'installation de Smith, révélant le rôle du contexte, de l'artisanat et de l'improvisation dans son acte créatif.
Chris Sharp s'intéresse au travail de l'artiste depuis ses débuts, abordant les concepts d'horreur, de sublime postapocalyptique et de non-signification, et expliquant comment ses installations doivent être lues comme des tentatives d'approfondir les sentiments de perte et d'épuisement en travaillant au plus près de ceux-ci, ce qui permet de "désarmer le traumatisme" . Anthony Huberman saisit la difficulté de traduire l'oeuvre de Smith en langage en l'analysant à travers le prisme de la musique.
Initialement conçue pour documenter trois expositions personnelles à de Appel à Amsterdam (2015), au Kunstverein Hannover (2015) et au S. M. A. K. à Gand (2017), cette publication rassemble également de nouveaux textes de commande et un essai réédité qui éclairent la pratique de l'artiste sur une décennie. Le texte de Martin Germann est centré sur la phénoménologie du processus d'installation de Smith, révélant le rôle du contexte, de l'artisanat et de l'improvisation dans son acte créatif.
Chris Sharp s'intéresse au travail de l'artiste depuis ses débuts, abordant les concepts d'horreur, de sublime postapocalyptique et de non-signification, et expliquant comment ses installations doivent être lues comme des tentatives d'approfondir les sentiments de perte et d'épuisement en travaillant au plus près de ceux-ci, ce qui permet de "désarmer le traumatisme" . Anthony Huberman saisit la difficulté de traduire l'oeuvre de Smith en langage en l'analysant à travers le prisme de la musique.
Michael E. Smith (né en 1977 à Detroit) réalise des sculptures à partir de défroques, de déchets et d'autres résidus de notre société de consommation. Il isole les objets, intervient sur leur forme et cherche à éprouver leur pouvoir de suggestion. L'oeuvre de Smith semble échapper à toute forme de sublimation. L'attrait pour l'absurde et la tension incertaine provient d'un regard critique étendu sur les défis écologiques, économiques et sociaux de notre société. Ses dispositifs d'expositions se caractérisent par une dimension chorégraphique importante, prenant la forme de créations conçues in situ qui occupent l'intégralité de l'infrastructure du musée.