Messages De Pierre. Statues Et Sculptures De L'Indonesie Primitive Dans Les Collections Du Musee Barbier-Mueller
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- Nombre de pages208
- PrésentationRelié
- Poids1.565 kg
- Dimensions23,9 cm × 30,7 cm × 2,3 cm
- ISBN88-8118-554-7
- EAN9788881185542
- Date de parution14/09/1999
- ÉditeurSkira
Résumé
Nombreuses sont les îles de l'Insulinde qui sont parsemées de monuments et de statues de pierre. Certains remontent à une antiquité difficile à estimer, alors que d'autres sont vieux de quelques décennies seulement. Parmi ces sculptures, il en est qui ont une taille impressionnante, au point de pouvoir rivaliser avec les géants très médiatiques de l'île de Pâques. Pourtant ces œuvres étonnantes restent inconnues du grand public et ignorées de beaucoup de connaisseurs.
Pour des raisons difficiles à expliquer, les musées occidentaux négligèrent cette forme " d'art primitif ". Il fallut attendre ces dernières années pour que quelques importantes institutions allemandes, belges ou américaines s'enrichissent d'un cavalier batak ou d'un grand siège rituel de Nias.
Le musée Barbier-Mueller s'est attaché depuis un quart de siècle à former une collection cohérente de ces monuments monolithiques. Faut-il rappeler qu'il organisa, en 1981, sous le patronage du gouvernement indonésien, l'exposition " Art des Indonésiens archaïques ", qui circula entre Genève, Brooklyn et Dallas ?
Depuis, d'autres manifestations ont permis de mieux connaître cet art mais jamais, à ce jour, une exposition entière ne lui avait été consacrée. Cette lacune est désormais comblée.
Nombreuses sont les îles de l'Insulinde qui sont parsemées de monuments et de statues de pierre. Certains remontent à une antiquité difficile à estimer, alors que d'autres sont vieux de quelques décennies seulement. Parmi ces sculptures, il en est qui ont une taille impressionnante, au point de pouvoir rivaliser avec les géants très médiatiques de l'île de Pâques. Pourtant ces œuvres étonnantes restent inconnues du grand public et ignorées de beaucoup de connaisseurs.
Pour des raisons difficiles à expliquer, les musées occidentaux négligèrent cette forme " d'art primitif ". Il fallut attendre ces dernières années pour que quelques importantes institutions allemandes, belges ou américaines s'enrichissent d'un cavalier batak ou d'un grand siège rituel de Nias.
Le musée Barbier-Mueller s'est attaché depuis un quart de siècle à former une collection cohérente de ces monuments monolithiques. Faut-il rappeler qu'il organisa, en 1981, sous le patronage du gouvernement indonésien, l'exposition " Art des Indonésiens archaïques ", qui circula entre Genève, Brooklyn et Dallas ?
Depuis, d'autres manifestations ont permis de mieux connaître cet art mais jamais, à ce jour, une exposition entière ne lui avait été consacrée. Cette lacune est désormais comblée.