Merlin Tome 4
Le Roman de la mère de Renart

Par : Joann Sfar, José Luis Munuera

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  • Nombre de pages48
  • PrésentationBroché
  • FormatAlbum
  • Poids0.43 kg
  • Dimensions22,5 cm × 30,0 cm × 0,8 cm
  • ISBN2-205-05094-X
  • EAN9782205050943
  • Date de parution18/10/2001
  • ÉditeurDargaud

Résumé

Comme nous sommes au Moyen Age, les forêts sont plus vastes et profondes qu'aujourd'hui, et nul n'ose s'y aventurer. Néanmoins, Merlin, Tartine et Jambon, qui ne sont pas "nuls", s'y aventurent. Mais d'abord, rappelez-vous. Merlin, c'est Merlin enfant - un gosse plutôt vilain et mal élevé, sous son joli chapeau bleu. Jambon, c'est le cochon, et Tartine, c'est l'ogre qui ne mange plus d'enfants, mais qui se retient de bouffer Jambon depuis trois albums.
Dans la forêt, ils trouvent le loup Ysengrin en mauvaise posture, la queue prise dans la glace : il s'est encore fait avoir par son copain Renart le goupil, qui est beaucoup plus futé que lui. Après délivrance du loup, les quatre compères foncent chez Renart lui casser la gueule. Mais décidément, Renart est très futé... Nous sommes donc en plein Roman de Renart - la série originelle ayant été écrite aux XIIe et XIIIe siècles -, version Sfar et Munuera, c'est-à-dire iconoclaste.
Avec quelques digressions rigolotes sur le déterminisme et la liberté de chacun (en particulier de l'auteur), l'incident du virtuel sur le destin des personnages, et le droit (ou non) de zigouiller ce salopard de Renart - un personnage du patrimoine, autant dire une légende. Sans oublier quelques détours par les Trois Petits Cochons et La Fontaine. Le tout se lit au premier degré pour les enfants, et au deuxième degré pour les grands, qui sont beaucoup plus cultivés, ça va de soi.
Ce qui n'est pas sans rappeler le cas Astérix. Une merveille de loufoquerie et d'impertinence, tant sur le plan de l'imaginaire que du graphisme. Et bientôt, nous retrouverons les trois copains dans Tristan et Iseult. Ca promet.
Comme nous sommes au Moyen Age, les forêts sont plus vastes et profondes qu'aujourd'hui, et nul n'ose s'y aventurer. Néanmoins, Merlin, Tartine et Jambon, qui ne sont pas "nuls", s'y aventurent. Mais d'abord, rappelez-vous. Merlin, c'est Merlin enfant - un gosse plutôt vilain et mal élevé, sous son joli chapeau bleu. Jambon, c'est le cochon, et Tartine, c'est l'ogre qui ne mange plus d'enfants, mais qui se retient de bouffer Jambon depuis trois albums.
Dans la forêt, ils trouvent le loup Ysengrin en mauvaise posture, la queue prise dans la glace : il s'est encore fait avoir par son copain Renart le goupil, qui est beaucoup plus futé que lui. Après délivrance du loup, les quatre compères foncent chez Renart lui casser la gueule. Mais décidément, Renart est très futé... Nous sommes donc en plein Roman de Renart - la série originelle ayant été écrite aux XIIe et XIIIe siècles -, version Sfar et Munuera, c'est-à-dire iconoclaste.
Avec quelques digressions rigolotes sur le déterminisme et la liberté de chacun (en particulier de l'auteur), l'incident du virtuel sur le destin des personnages, et le droit (ou non) de zigouiller ce salopard de Renart - un personnage du patrimoine, autant dire une légende. Sans oublier quelques détours par les Trois Petits Cochons et La Fontaine. Le tout se lit au premier degré pour les enfants, et au deuxième degré pour les grands, qui sont beaucoup plus cultivés, ça va de soi.
Ce qui n'est pas sans rappeler le cas Astérix. Une merveille de loufoquerie et d'impertinence, tant sur le plan de l'imaginaire que du graphisme. Et bientôt, nous retrouverons les trois copains dans Tristan et Iseult. Ca promet.
Joann Sfar
Joann Sfar naît le 28 août 1971 à Nice, dans une famille moitié séfarade moitié ashkénaze, où on lui raconte toutes sortes de mythes et d'histoires. Dès qu'il sait par quel bout tenir un crayon, il se met à dessiner. Vers quinze ans, il commence à expédier aux éditeurs un projet de BD par mois, qu'on lui refuse au même rythme. C'est aussi vers cet âge qu'il rencontre ses "mentors", Fred, Baudoin et Pierre Dubois (le modèle du Minuscule Mousquetaire). "Ils m'ont mis dans la tête des trucs sains. Tout ce que je fais, c'est pour leur plaire". Au début des années 80, armé d'une maîtrise de philo mention TB obtenue pour faire plaisir à son père, il entre aux Beaux-Arts à Paris, où il suit les cours du département de morphologie et dessine des natures mortes vraiment très mortes, comme les enfants à deux têtes et autres monstres de la collection de Geoffroy Saint-Hilaire, au Museum d'histoire naturelle. Il assiste même à des autopsies avec un copain légiste et dessine toutes sortes de boyaux. Ce qu'il tire finalement de cette expérience, c'est le plaisir de dessiner un être vivant, habillé, qui marche dans la rue. A 23 ans, surprise. Le même mois, Dargaud, Delcourt et l'Association répondent favorablement à ses envois. Depuis, il n'arrête plus. "La BD est quelque chose de compulsif, on doit en faire beaucoup. Et comme disait Charlier, c'est plus facile de mener dix histoires de front qu'une seule." D'où un foisonnement d'univers dont la cohérence est assurée par un cocktail très personnel de sentiment, d'humour et d'intelligence — sans oublier un charme graphique à tomber par terre.
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