Mémoires de Lorenzo Da Ponte, librettiste de Mozart

Par : Lorenzo Da Ponte
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  • Nombre de pages336
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.461 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 2,2 cm
  • ISBN2-7152-1510-X
  • EAN9782715215108
  • Date de parution01/05/1980
  • CollectionLe Temps retrouvé
  • ÉditeurMercure de France

Résumé

La gloire de Lorenzo Da Ponte est d'avoir conçu le texte des trois chefs-d'oeuvre de Mozart : Les Noces de Figaro, Don Juan, Cosi fan tutte. Lorsque l'abbé Da Ponte, obligé de quitter Venise où il s'était conduit trop mal avec des femmes, arriva à Vienne à l'âge de trente-deux ans, rien ne l'obligeait à distinguer, parmi les musiciens, Mozart plus qu'un autre. C'est ce qu'il fit, et à présent les chefs d'orchestre, les metteurs en scène n'ont qu'une voix pour affirmer que la part du librettiste fut déterminante : Da Ponte a réinventé avec génie, pour l'opéra, les pièces que Mozart a mises en musique.
Quand l'empereur qui protégeait Da Ponte meurt, notre abbé va devoir s'exiler de nouveau. Après mille aventures il se retrouvera professeur d'italien à New York. C'est Lamartine qui découvrit dans cette ville les extraordinaires Mémoires de Da Ponte. Il les envoya aussitôt à Paris, disant qu'il fallait traduire d'urgence "les Mémoires les plus originaux et les plus anecdotiques que l'Italie ait jamais offerts à la curiosité publique".
La gloire de Lorenzo Da Ponte est d'avoir conçu le texte des trois chefs-d'oeuvre de Mozart : Les Noces de Figaro, Don Juan, Cosi fan tutte. Lorsque l'abbé Da Ponte, obligé de quitter Venise où il s'était conduit trop mal avec des femmes, arriva à Vienne à l'âge de trente-deux ans, rien ne l'obligeait à distinguer, parmi les musiciens, Mozart plus qu'un autre. C'est ce qu'il fit, et à présent les chefs d'orchestre, les metteurs en scène n'ont qu'une voix pour affirmer que la part du librettiste fut déterminante : Da Ponte a réinventé avec génie, pour l'opéra, les pièces que Mozart a mises en musique.
Quand l'empereur qui protégeait Da Ponte meurt, notre abbé va devoir s'exiler de nouveau. Après mille aventures il se retrouvera professeur d'italien à New York. C'est Lamartine qui découvrit dans cette ville les extraordinaires Mémoires de Da Ponte. Il les envoya aussitôt à Paris, disant qu'il fallait traduire d'urgence "les Mémoires les plus originaux et les plus anecdotiques que l'Italie ait jamais offerts à la curiosité publique".